Àpropos de l'article " Apprécier le bonheur présent " Publié par Les Mots Bonheur le 2 août 2014 Suite Avis de non-responsabilité : Les propos et les conseils de cette publication, incluant les produits et services offerts, sont le point de vue de son auteur(e), de ses croyances, de son expérience de vie et/ou professionnel.
Nous sommes le jeudi 23 septembre, je suis seule à la maison et je contemple le paysage qui m’entoure. La météo est douce, une légère brise me caresse les joues. Mon esprit cogite et vagabonde dans tous les sens. Je pense à notre histoire avec amertume. Je me projette dans un avenir incertain. Tel un funambule, je marche sur la ligne du temps. Quand je me dirige vers le passé, mon cœur est lourd. Alors, je suis déprimée et mélancolique. Lorsque je m’approche du futur, ma gorge se serre et je deviens anxieuse. Le mardi 21 septembre, à 17 heures, je faisais mes courses au supermarché. Un bébé de tout juste un mois pleurait dans sa poussette. Il était entouré de ses deux parents. Le couple était jovial. Toute la famille se trouvait dans le rayon des boissons. Je me suis approchée et j’ai tenté de saisir un pack de jus d’orange. La poussette était encombrante et je peinais à me frayer un chemin entre les étalages. J’ai passé à côté de ce joli bébé que j’osais à peine regarder. Evidemment, mon ange, à chaque fois que je vois un nouveau-né, c’est à toi que je pense. Puis, j’ai croisé le regard plein de fierté de sa maman, qui semblait me dire Il est mignon n’est-ce pas ! ». Je lui ai souri. Si seulement elle savait, si seulement… Mon cœur de maman en souffrance aurait voulu lui dire Profitez ! Moi, j’ai perdu mon bébé il y a quatre mois. Vous avez de la chance !». Je me suis tue. Clairement, j’étais envieuse. J’ai ressenti leur joie qui, pour moi, s’était envolée avec toi le jour de ta mort. Pourquoi, ce petit bébé avait-il plus le droit de vivre, de grandir, de s’épanouir que toi ? Pourquoi ces parents avaient-ils plus le droit de vivre en toute insouciance que nous ? J’ai éprouvé tellement d’injustice. Ce sentiment inavouable qu’on a trop souvent tenté de dissimuler, je ne le refoule plus. J’ai attrapé péniblement mes bouteilles et la maman a murmuré aux oreilles du papa Je pense qu’elle a faim à nouveau ! J’ai pensé tout bas Elle ! C’est une fille ! J’espère qu’ils sont conscients de la chance qu’ils ont d’avoir leur fille auprès d’eux ». Quelques mois plus tôt, je me promenais, moi aussi, le regard rempli de fierté, avec toi en écharpe, dans ce même magasin à la recherche de vêtements. Je n’étais pas consciente, enfin pas pleinement, de ce bonheur pourtant si simple, de pouvoir faire des courses avec toi, ma fille. Cela me paraissait alors normal. J’ai agi mécaniquement, à la recherche d’habits, sans profiter du moment, sans profiter de ton souffle contre ma poitrine, de la chaleur de ton petit corps blotti contre le mien, de la beauté de ton visage, de la perfection qui te caractérisait… Si j’avais su, si seulement… Je m’ efforce à revenir au moment présent. J’observe le mouvement du champ de maïs qui se balance au gré du vent. Je me sens bien. Le bonheur est là , juste sous mes yeux. C’est à moi de l’identifier. Margaux, mon amour, avec ta disparition, j’ai vécu l’horreur, j’ai vécu l’insurmontable, j’ai vécu l’intolérable mais grâce à ta présence dans mon cœur, j’ai saisi le sens de la vie. Le passé et le futur me malmènent encore très souvent, trop souvent, mais j’aperçois petit à petit les graines du bonheur que tu as semées et que tu continues à semer sur mon parcours. Les premières ont germé. Je sais que le véritable bonheur se trouve dans l’instant présent. Aujourd’hui est le plus beau jour de notre vie, car hier n’existe plus et demain ne se lèvera peut-être jamais ». Bruno Combes Merci de m’avoir ouvert les yeux, petit cœur !
JoyceJonathan : "Le bonheur c'est de se sentir vivant à chaque instant" France Bleu. 6:55 # Instant Vérité Partie 1 Matin Bonheur de RTI 1 du 09 Janvier 2017. RTIOfficiel. 5:13 # Instant
En tant qu’êtres humains, nous voulons beaucoup de choses, mais plus que tout, ce que nous partageons, c’est le désir d’être heureux. Nous vivons dans une société dite de progrès », où malgré la persistance de la misère, la majorité de la population peut satisfaire ses besoins essentiels. Mais bien que les conditions matérielles aient largement progressé, nous ne nous sentons pas forcément plus heureux. Qu’est-ce que le bonheur? Question philosophique et existentielle largement débattue, il en existe plusieurs définitions, mais généralement on le conçoit comme un état de bien-être, de plénitude, de satisfaction. Ces dernières années, de nombreuses recherches scientifiques ont été menées sur les causes du bonheur, et elles démontrent que des éléments tels que le revenu, le niveau d’éducation, les relations amoureuses n’ont que peu d’impact sur la tendance au bonheur. Alors quelles sont les causes du bonheur? Quand sommes-nous vraiment heureux? En 2009, Matt Killingsworth, étudiant en Doctorat à l’Université d’Harvard lance une application sur Iphone permettant aux gens de rapporter leurs émotions en direct. En interrogeant des milliers de personnes, il a rassemblé d’énormes quantités de données sur le bonheur Au cours de la journée des questions sont posées aux participants pour savoir ce qu’ils font, avec qui ils sont, ce à quoi ils pensent au moment présent. Plus de 15 000 personnes ont été interrogées, de 18 à plus de 80 ans, de toutes conditions sociales, dans plus de 80 pays. 3 principales questions étaient posées * Comment vous sentez-vous, sur une échelle de très bien à très mal ? * Que faites-vous ? 22 différentes activités proposées * Pensez-vous à autre chose que ce que vous êtes en train de faire ? – Non, je suis concentré sur ma tâche. – Oui, je pense à autre chose et le sujet de mes pensées est plaisant / déplaisant / neutre. Les résultats des données collectées montrent que les personnes interrogées se sentent bien moins heureuses quand leur esprit s’évade que lorsqu’elles sont présentes. On pourrait penser que lorsque l’on se trouve dans une situation déplaisante et que notre esprit s’évade, cette évasion mentale pourrait agir positivement sur notre bonheur. Et bien non, peu importe l’activité, quoique l’on fasse, même si cela est déplaisant être dans un embouteillage par exemple, on ressent plus de bonheur en étant présent à l’expérience qu’en laissant notre esprit divaguer. Pourquoi cela? La principale raison en est que lorsque notre esprit s’évade, la plupart du temps nos pensées sont déplaisantes, de l’ordre de l’inquiétude, de l’anxiété, des regrets. Mais le plus étonnant dans les résultats de cette enquête est que même lorsque les pensées sont neutres, ou même agréables, les personnes se sentent toujours moins heureuses que lorsque leurs pensées ne s’évadent pas. De plus, les résultats des personnes interrogées montrent qu’en moyenne, quelle que soit leur activité, 47% du temps, elles pensent à autre chose. L’évasion mentale serait donc omniprésente et constituerait une cause importante de mal-être. Cette enquête n’est pas une étude scientifique, mais elle a le mérite d’inclure de très nombreuses personnes dans son panel, et de montrer une tendance générale. Notre cerveau produit de la pensée, et est extrêmement prolifique. Bien sûr, cela nous permet d’être inventif, imaginatif, créatif, de rêver et de faire des projets. Mais il s’agit ici d’un aspect compulsif de notre esprit, de ce bavardage intérieur permanent tourné soit vers le passé, soit vers le futur, et qui nous empêche d’apprécier pleinement l’instant présent. Dans une société où notre attention est constamment détournée par l’accélération des rythmes de vie, la pollution sonore des milieux urbains, les flux d’informations portable, SMS, mails, télé… nous avons grand besoin de développer des qualités de présence, de stabilité mentale et émotionnelle. L’intérêt actuel pour la méditation en témoigne. Alors quelles solutions pour accéder à plus de bien-être? Nous savons aujourd’hui que notre cerveau évolue, est plastique », et peut créer tout au long de notre vie de nouveaux neurones, de nouvelles connections. Entraîner son esprit, cultiver des qualités positives, évoluer est possible à tout âge, et de nombreuses pratiques et disciplines permettent de développer notre capacité de présence. Ramener l’attention vers le corps, vers les perceptions physiques, le sentir, permet de centrer son esprit. Réorienter l’énergie mentale vers les sensations corporelles est une méthode que l’on retrouve dans le Yoga, le Tai-chi, le Qi gong, certains arts martiaux, et bien sûr la méditation. À travers le rythme, TaKeTiNa vous invite à vous reconnecter à vos sensations. Dans le cercle, vous êtes guidé de manière progressive à explorer le rythme avec votre corps et votre voix. Vous dites des syllabes rythmiques, vous frappez dans vos mains et faites des pas sur des rythmes différents, mais simultanément. Vous ouvrez ainsi peu à peu en vous-même un espace nouveau où vous pouvez être dans le même temps actif et passif, détendu et concentré, relaxé et énergétisé, et pleinement présent à l’expérience vécue. Ce qui est ressenti, expérimenté et intégré dans le cercle peut se transposer dans la vie quotidienne. C’est un processus d’évolution personnelle à travers le rythme, permettant d’intégrer la conscience du corps et la stabilité de l’esprit; et de développer un état de paix intérieure et de présence. Le rythme est un des moyens les plus anciens et les plus efficaces pour influencer et développer la conscience humaine. Dans notre monde global et centré sur la technologie, l’être humain perd souvent le contact avec ses propres rythmes intérieurs, et il peut se sentir étranger, dé-synchronisé. TaKeTiNa lui permet de se reconnecter avec le pouvoir transformateur du rythme. Reinhard Flatischler Vous pouvez visualiser ici une vidéo de Matt Killingsworth détaillant son enquête sur le bonheur
Jévoquerai des thèmes variés : la pensée positive, vivre l’instant présent en pleine conscience, le lâcher prise, la confiance en soi, la gestion des peurs, le courage, la sérénité . vendredi 18 octobre 2013. Vivre pleinement le présent. Le truc que j'ai lu aujourd'hui et qui m'a fait réfléchir 10 min : "On s'imagine souvent qu'en atteignant
Vous trouvez que les journées sont trop courtes ? Que c’est tout le temps la course ? Bienvenue au club ! Entre le blog, ma nouvelle activité de formatrice, les enfants, leurs activités extrascolaires et toutes les petites choses du quotidien à gérer… J’ai la tête pleine d’informations en permanence. Alors, je note tout pour ne rien oublier. Je suis sûre que vous aussi vous avez plein de listes, non ? En plus de tout ça, notre cerveau produit 60 000 pensées par jour ! De quoi alimenter notre petit vélo intérieur. Sans compter les appels téléphoniques, SMS, mails, messages et notifications que l’on reçoit chaque jour. Franchement, c’est dur de rester dans l’instant présent. Personnellement, cette sursollicitation me disperse complètement. En dehors des vacances, j’ai du mal à apprécier le moment présent et j’ai vraiment envie que ça change. C’est la raison pour laquelle je me penche sur le sujet dans cet article. Qu’est-ce que vivre l’instant présent ? Rassurez-vous, je ne vais pas me lancer dans un long débat philosophique sur le temps… Je vais plutôt essayer de vous donner une définition de l’instant présent aussi simple que possible, avec mes mots à moi. Pour moi, l’instant présent, c’est être dans l’ici et maintenant ou ce qu’on appelle aussi l’état de flow. Ça signifie que vous êtes totalement là , dans le moment présent, physiquement et mentalement. Toute votre attention est focalisée sur ce qui se déroule à l’instant t. C’est un peu comme si le temps s’était suspendu. Ça m’est arrivé pendant mes dernières vacances et j’en garde un souvenir ému. Pendant toute une après-midi, j’ai observé mes filles et mes nièces chercher des coquillages sur la plage de Quiberon comme autant de petits trésors. C’est rare car j’ai tendance à vouloir tout anticiper, organiser, contrôler et à faire 50 trucs en même temps. Mais cette fois-ci, j’étais là , pleinement dans l’instant présent. J’ai ressenti une joie et une plénitude intenses… Un pur moment de béatitude. Pourquoi vivre l’instant présent ? Le passé est révolu Ce n’est pas grave ni mauvais que votre conscience s’échappe parfois dans le passé ou le futur. Ça peut même être très utile dans certains cas. Comme le souligne François Bourgognon et Antoine Gerlier dans leur livre Méditer avec Namatata “Penser au passé permet d’éviter de refaire les mêmes erreurs et de reproduire ce qui a déjà fonctionné. Penser au futur permet de planifier et d’éviter les dangers. Être dans l’imaginaire permet de trouver l’inspiration, de créer.” Mais quand vous pensez au passé, beaucoup d’émotions peuvent également refaire surface tristesse, colère, regret, nostalgie, culpabilité, remords, honte, ressentiment, haine, jalousie… Cela peut causer de la souffrance voire même une dépression. Ce qui est fait est fait ! Vous ne pouvez pas revenir sur le passé, ni le modifier… Y retourner de façon ponctuelle pour vous remémorer de bons souvenirs, si vous avez entrepris une thérapie ou pour vous libérer d’expériences douloureuses, oui. Mais si ce n’est ni agréable ni constructif, pourquoi vous torturer ? Le futur n’existe pas encore Vous projeter dans le futur pour pratiquer la visualisation positive ou pour vous fixer des objectifs concrets, c’est très bien. Par contre, vous focaliser sur un futur plein d’espoir, attendre de lui de vous rendre satisfaits et comblés sans passer à l’action dans le présent pour que la situation change… Bah ça ne marche pas ! Eckhart Tolle, dans son célèbre ouvrage Le pouvoir du moment présent, explique que le mental cherche un substitut à la joie. Alors, il se projette dans le futur qui représente une promesse de satisfaction, tout comme les choses extérieures biens, argent, succès, pouvoir, reconnaissance, relation spéciale… De la même façon, pourquoi s’inquiéter et se stresser dans le présent pour un futur hypothétique ? 90% des choses négatives que vous imaginez ne se produiront sûrement jamais. Ces pensées ont pour seul effet de vous paralyser. C’est ce qui s’est passé pour moi avec mon dernier projet professionnel. Comment savourer l’instant présent ? Observez vos pensées Voici une méthode proposée par Eckhart Tolle, toujours dans son ouvrage Le pouvoir du moment présent. Ecoutez aussi souvent que possible votre voix intérieure. Prêtez particulièrement attention aux schémas de pensée répétitifs. Ecoutez-la objectivement, c’est à dire sans juger, sans condamner ce que vous entendez. En observant une pensée, vous êtes conscients de celle-ci, mais aussi de vous-même en tant que témoin de la pensée comme si vous étiez quelqu’un d’extérieur à la scène. Elle perd alors de son pouvoir sur vous. Pratiquez la pleine conscience On associe souvent la pleine conscience à la pratique de la méditation, mais, comme l’explique Eckhart Tolle, nous pouvons reporter notre attention sur le moment présent à travers n’importe quelle activité routinière du quotidien. Faites le test ! Choisissez une activité de votre quotidien et entraînez-vous à être pleinement conscients de ce que vous faites pendant toute la durée de cette activité. Ça peut être le moment où vous vous douchez, où vous vous brossez les dents, quand vous faites la vaisselle, quand vous mangez, par exemple. Prêtez vraiment attention à tous vos gestes, votre posture, votre respiration, vos sens goût, odeurs, ce que vous voyez, sons que vous percevez… Et si vous voulez tester la méditation, je vous renvoie vers mon article 10 méthodes pour apprendre à méditer pour de bon ! Faites des activités que vous aimez Quand vous faites quelque chose qui vous procure du plaisir, vous êtes entièrement concentrés sur ce que vous faites. Le temps s’arrête. Vous perdez la notion du temps… Pour certains, ça sera le sport, la lecture, un concert, pour d’autres des activités artistiques, le bricolage, le jardinage ou des promenades en pleine nature. Je vous ai déjà parlé des bienfaits de la balade en forêt justement. Vous pouvez aussi vous initier au yoga ou à la sophrologie. Si vous avez des enfants, passez du temps et jouez avec eux le plus souvent possible. Les jeunes enfants sont à fond dans l’instant présent quand ils s’amusent. Ils ne se posent pas de questions. Inspirez-vous d’eux et retrouvez votre âme d’enfant ! Réduisez les sources de distraction Au cours d’une journée, un Français consulte son smartphone en moyenne 26,6 fois. Il y passe environ 1h42 par jour soit presque 26 jours par an. Perte de temps et source de dispersion énorme. Depuis que j’ai un téléphone portable, je n’ai plus de montre. Il est plus facile aussi à trimbaler que mon gros appareil photo. Je cherche également très régulièrement des idées de recettes sur Pinterest. Sauf que, à chaque fois que je consulte l’heure, une recette ou que je prends une photo, je suis aussi tentée d’aller lire un message qui m’attend sur Messenger, un SMS ou un mail reçu… Du coup, je m’éparpille. Je tente de faire plusieurs choses en même temps et je perds en efficacité. Si vous êtes comme moi, n’hésitez pas à activer plus souvent le mode avion ou à faire une petite detox digitale ! Changez votre rapport au temps Cessez de vouloir contrôler le temps ! Ça ne sert à rien si ce n’est créer du stress et de l’angoisse. Ralentissez le rythme et adoptez plutôt la slow life. Prenez le temps de vivre et profitez des choses vraiment essentielles. Mettez à profit votre temps libre pour vous détendre. Le ménage, la pile de linge sale ou de repassage peuvent attendre… Retirez-vous dans votre bulle, loin de la pression. Essayez de vous réserver chaque jour un vrai moment de calme. C’est quand la dernière fois que vous avez pris le temps de ne RIEN faire ou de prendre du temps rien que pour vous ? Non seulement ça fait du bien, mais il est parfois nécessaire d’être un peu égoïstes de temps en temps. Poster Vis le moment présentAffiches à imprimerNote sur 5 5,00€ Poster Carpe DiemAffiches à imprimer 5,00€ Pour conclure Je vais vous faire une confidence. Cet article me trottait dans la tête depuis le début du mois d’août. Pendant ma 1ère semaine de vacances, je n’arrivais pas à déconnecter. J’avais même emporté avec moi un peu de boulot. Moralité, j’ai pleuré 2 soirs de suite parce que j’étais là , en Bretagne avec ma petite famille, mon frère et mes nièces et j’avais l’impression de passer à côté de tout. J’étais épuisée et irritable. J’ai donc dit stop la semaine suivante. Je n’avais pas tout à fait fini mon travail. Je n’ai pratiquement pas consulté mes mails durant ma 2ème semaine de vacances. Je vous publie cet article de blog avec un peu de retard et vous savez quoi ? Rien de grave ne s’est produit ! Par contre, j’ai profité de chaque instant avec ceux que j’aime et ça, ça n’a pas de prix… Si vous avez des astuces pour vivre pleinement l’instant présent, n’hésitez pas à les partager en commentant l’article. cet article contient des liens affiliés. Je participe au Programme Partenaires d’Amazon. Je touche donc une petite commission si vous achetez un produit sur ce site en cliquant sur mes liens. Ça ne change rien pour vous, mais ainsi vous m’aidez à faire vivre mon blog. Merci pour votre soutien !
4août 2020. Le bonheur passe par la capacité à profiter de l’instant Présent, être ici et maintenant. Le désir est à la base de la souffrance qui est la première source de violence.
Quelques citations sur le bonheur pour introduire cette notion. La citation peut notamment être utilisée pour faire une accroche, je vous renvoie à cet article sur la méthode de l’accroche. Par ailleurs, vous pouvez citer des auteurs dans votre devoir, mais cela doit rester mesuré. Une citation ne remplace pas un argument et il faut toujours expliquer une citation. Le bonheur est un idéal, non de la raison, mais de l’imagination » Kant, Fondements de la métaphysique des mœurs. Selon Kant, il faut distinguer deux facultés intellectuelles, la raison et l’imagination. La raison est la faculté d’enchainer des propositions de manières logique, elle fait des raisonnements. Au contraire, l’imagination va créer des images à partir de ce que nous avons déjà senti, mais de manière imprécise et vague. Dire que le bonheur est une idée de l’imagination signifie donc que nous n’en avons pas une idée claire mais plutôt fantasmée et qu’il va donc être difficile pour nous d’atteindre ce bonheur. Cela serait beaucoup plus simple si le bonheur était une idée de la raison car nous aurions alors une méthode logique pour atteindre le bonheur. Carpe Diem » Horace 65-8 av JC, Odes Cueille le jour » recommande le poète latin Horace à la jeune Leuconoé. Ce vers, qui fait du jour un fruit à croquer est devenu célèbre. Pourtant on le comprend souvent mal. Horace est un admirateur d’Epicure et loin d’encourager l’hédonisme c’est-à -dire la recherche perpétuelle de petits plaisirs, il nous encourage ici à éviter les désirs susceptibles de nous rendre inquiets et malheureux. Le véritable bonheur implique de savourer l’instant présent certes mais dans le cadre d’une discipline de vie exigeante qui suit la prudence et la modération. La vie oscille, comme un pendule, de droite à gauche, de la souffrance à l’ennui ». Schopenhauer, Le Monde comme Volonté et comme Représentation, Livre IV, §56-57 Selon Schopenhauer, le bonheur est impossible à atteindre réellement à cause du désir. En effet, quand nous désirons nous souffrons de ne pas avoir encore ce que nous voulons et quand nous avons ce que nous désirons, nous sommes finalement très rapidement habitué et nous sombrons donc dans l’ennui. Une citation sur l’impossibilité du bonheur dans les citations sur le bonheur. Nous ne vivons jamais, mais espérons de vivre ; et, nous disposant toujours à être heureux, il est inévitable que nous ne le soyons jamais ». Pascal 1623–1662, Pensées Une des citations sur le bonheur parmi les plus connues. Selon Pascal, les hommes ne sont pas heureux quand ils laissent leurs pensées se focaliser sur le passé ou le futur. Il remarque que nous avons tendance à ne jamais vivre dans le moment présent, mais à être toujours dans la nostalgie ou le regret du passé qui ne peut pas revenir ou dans l’inquiétude ou l’espoir pour le futur mais alors nous n’y sommes pas encore. Or quand nous ne faisons qu’espérer être heureux dans le futur, nous oublions complètement d’être d’abord heureux au présent et c’est le seul temps où nous pouvons effectivement l’être. Nul bonheur, nulle sérénité, nulle espérance, nulle fierté, nulle jouissance de l’instant présent ne pourrait exister sans la faculté d’oubli » Nietzsche, Seconde considération inactuelle. Selon Nietzsche, il est important pour espérer être heureux de ne pas vivre constamment dans le passé. Il considère que si nous ne n’oublions rien, nous serions alourdi par le poids des souvenirs et des regrets. Il est donc nécessaire selon lui d’oublier afin de pouvoir vraiment être libre et heureux dans le moment présent. Ce qui trouble les hommes, ce ne sont pas les choses, ce sont les jugements qu’ils portent sur les choses ». Epictète, Manuel, V Epictète est un stoïcien et en bon stoïcien, il développe une philosophie qui a pour but de nous aider à être indépendant des circonstances et événements qui ont lieu dans notre vie. Selon lui, ce qui nous affecte et peut nous faire perdre le contrôle, ce ne sont pas réellement les événements tragiques de notre vie mais la manière dont nous jugeons ces événements. Si nous disons c’est une catastrophe, je ne m’en remettrai jamais », ça n’est pas du tout la même chose que si nous considérons que cet événement est dans le cours des choses et j’irai mieux bientôt ». Il n’y a qu’une route vers le bonheur, c’est de renoncer aux choses qui ne dépendent pas de notre volonté. » Épictète 50–125, Entretiens Epictète, stoïcien, enseigne comment ne pas être atteint par les événements. Une bonne manière d’y arriver consiste d’abord à ne pas essayer de contrôler ce qui ne dépend pas de nous, il faut ainsi renoncer à contrôler notre corps qui vieillira nécessairement ou encore notre réputation qui dépend des autres. En revanche, nos pensées et nos désirs, eux, dépendent de nous et nous pouvons apprendre à les contrôler. C’est un grand bien à notre avis que de se suffire à soi-même, non qu’il faille toujours vivre de peu, mais afin que si l’abondance nous manque, nous sachions nous contenter du peu que nous aurons. » Epicure, Lettre à Ménécée Pour Epicure, le désir peut être considéré comme un manque de quelque chose que l’on a pas encore, mais que l’on souhaite obtenir. Alors, le désir apparaît d’abord comme un manque, une douleur et si l’on désire quelque chose de difficile à obtenir cela sera plus douloureux encore car nous ne sommes pas sûrs de l’atteindre ou cela va prendre du temps. C’est pourquoi, pour Epicure, le bonheur c’est l’absence de troubles dans l’âme. Si nous sommes perpétuellement inquiets car nous voulons absolument des biens de luxe et n’y arrivons pas alors nous ne sommes pas heureux. Atteindre le bonheur c’est donc d’abord limiter ses désirs pour ne garder que les désirs les plus simples à satisfaire. La santé du corps, la tranquillité de l’âme sont la perfection de la vie heureuse. » Epicure, Lettre à Ménécée Epicure, dans la Lettre à Ménécée, donne plusieurs recommandations pour atteindre le bonheur. A ses yeux, le bonheur c’est le plaisir, mais il faut ici faire attention aux contresens, car par plaisir Epicure entend la suppression de la douleur. Il ne s’agit donc pas de dire qu’il faut multiplier les plaisirs et que cela rendra heureux comme peut le faire un hédoniste. Au contraire, pour Epicure, on est heureux quand on ne souffre pas ! Il le dit en ces termes La santé du corps, la tranquillité de l’âme sont la perfection de la vie heureuse ». La question est donc de déterminer comment ne pas souffrir ni dans son corps ni dans son âme. Si vous avez aimé, n'hésitez pas à partager !
Onvoit le bonheur comme un état durable car l'existence est sans cesse changeante. Le bonheur n'existe pas : Kant -> le bonheur n'est pas un idéal de la raison mais un idéal de l'imagination Bonheur # Vertu pour Kant, le bonheur est un idéal impossible à atteindre. -> C'est une construction de l'esprit humain, trouver le bonheur est
Angoissés par l’avenir, stressés par le temps, rien ne nous semble plus illusoire que de vouloir vivre pleinement l’instant présent. Notre journaliste a tout de même essayé. Il fait froid, gris, triste. Dehors, c’est la crise, à laquelle je ne comprends pas grand-chose, sauf qu’on va tous finir par perdre notre emploi, se taper les uns sur les autres et mourir dans un accident nucléaire. Alors, l’instant présent, là , tout de suite, je n’ai pas envie d’en profiter…, à moins qu’il ne s’agisse des cinq délicieuses minutes avant 8 heures où je suis au chaud dans mes rêves, juste avant d’écouter les infos. Le reste du temps, j’aime autant me raconter de joyeuses petites histoires, me souvenir d’une anecdote qui me fait encore rire ou tirer des plans optimistes sur la comète. Les rayons des librairies ont beau déborder de livres m’invitant à être zen », à méditer pour ne plus déprimer » ou à vivre mieux ici et maintenant », je ne vois pas comment plonger dans l’instant présent sans sombrer dans l’ je ne suis pas la seule puisque, à les entendre, mes amis aussi passent plus de temps à regretter le passé ou à le ruminer, à idéaliser l’avenir ou à l’appréhender. Pourquoi est-ce si difficile de vivre dans le présent, la seule réalité qui semble à ma portée ? Mon cerveau et le vôtre en est, tout simplement, incapable. Nous n’avons pas de récepteur spécifique pour saisir l’instant, contrairement aux saveurs ou aux odeurs », rappelle Pierre Buser, neurobiologiste, auteur avec Claude Debru du Temps, instant et durée, de la philosophie aux neurosciences Odile Jacob, 2011. Nous nous en remettons donc aux horloges, lesquelles n’ont rien à voir avec notre conception subjective de la durée. Une heure chez le dentiste me semble une éternité et une semaine de vacances, un bref instant. Surtout, précise-t-il, nous élargissons toujours l’instant en le colorant du passé immédiat et du futur proche », comme nous lions les notes de musique entre elles pour constituer une mélodie. D’où cette sensation qu’il nous échappe, que le temps de nous dire qu’il faut en jouir et le poster sur Facebook, il est déjà trop tard… Parvenir à vivre dans l’ici et maintenant est en fait une capacité de l’enfance, de l’époque où nous ne nous posions pas la question. À mesure que nous grandissons, nous acquérons la dimension du temps. Tout petits, nous apprenons à raconter notre journée, à préparer notre cartable, donc à nous remémorer le passé et à prévoir l’avenir », résume Alain Braconnier, psychiatre et psychanalyste. Bien sûr, dans des moments de jeu ou de gaieté, je retrouve parfois la spontanéité, l’insouciance de l’enfance, et je goûte avec plaisir cette liberté. Mais, le plus souvent, vous devez analyser ce que vous avez bien fait ou mal fait, anticiper, choisir… Pour un adulte, être en permanence dans le présent serait d’ailleurs irresponsable », reprend le psychiatre. Pour certains de mes amis, profiter du moment, même un tout petit peu de temps à autre, est absolument impossible ! Constamment dans leurs souvenirs, ils ne peuvent pas s’empêcher de répéter que c’était mieux avant », regrettent leurs actes ou ruminent leurs échecs au point de limiter leurs possibilités. Si je n’avais pas raté le concours d’infirmière il y a dix ans, je serais plus heureuse aujourd’hui », regrette ainsi Catherine, 45 ans, qui reconnaît aussi avoir manqué des occasions de rebondir. Dans la répétition, nous cherchons la réparation, éclaire Katia Denard, psychanalyste. En rejouant la même scène, nous espérons intimement qu’enfin quelque chose va changer. » L’inconscient, disait Freud, ne connaît pas le temps nos souffrances anciennes non réglées restent actives comme si elles dataient d’hier. Et puis, révèle Katia Denard, en ruminant le passé, nous cherchons à rester dans ce que nous connaissons déjà , même si c’est désagréable. Pourquoi changer pour un scénario actuel mais étranger et qui nous fait si peur ? ». D’autres entachent plutôt le présent de leur peur de l’avenir. Perfectionnistes, ils ne peuvent apprécier l’instant, trop imparfait comparé à un idéal inaccessible. Anxieux, ils sont incapables d’en tirer profit, hantés par la crainte de ce qui pourrait arriver de pire, forcément. Peur d'être vraiment là ? Pour moi, goûter le bonheur réveille également une forme de culpabilité. Comme s’il y avait quelque chose de honteux à profiter, que je n’en étais pas digne. Ou, superstitieuse, que ma réjouissance attire le mauvais oeil ou que le passé se répète. Longtemps, je me suis ainsi empêchée de vivre pleinement les bons moments. Au point, parfois, de frôler la prophétie Ne te réjouis pas trop, ça ne va pas durer. Fais-toi de beaux souvenirs », me susurrait une petite voix un poil déprimante. Aujourd’hui, j’ai fait des progrès, j’arrive à être heureuse la plupart du temps. Je ne pense plus, par exemple, lorsque mon compagnon me donne un baiser, que c’est peut être le dernier, qu’il va me plaquer ou se faire écraser par un bus. Si, alors que je suis dans ses bras, je m’inquiète d’être en retard au bureau, c’est parce que si je goûtais vraiment l’instant présent je ne le quitterais pas… En empoisonnant un peu le plaisir de l’instant, vous tentez d’atténuer la souffrance liée à sa disparition possible, souligne Marie-José de Aguiar, gestalt- thérapeute. Le plein bonheur, c’est parfois trop. Craignant que le réveil soit rude, vous choisissez inconsciemment de le parasiter. » Je réalise alors qu’être dans le contact total avec l’autre me renvoie à la peur de la fusion, de la perte de contrôle, de l’engloutissement… et devient mortifère. Être vraiment là , en conscience, est une posture très “impliquante”, poursuit la gestalt-thérapeute. Cela peut même être insupportable si, en plus, cela vous rappelle combien vous avez manqué de ces moments-là auparavant. Ou si cela ouvre sur un besoin de l’autre qui paraît sans fond, terriblement angoissant. » Pour l’atténuer, par pudeur et pour me protéger, je préfère alors regarder ailleurs, gesticuler, parler du passé, de l’avenir, avoir l’air pressée. Bref, je m’organise pour ne pas me dévoiler, ne pas dire mes émotions, mes sensations, ni voir ce qui advient dans la rencontre et le silence. Pourquoi pas, me rassure Marie-José de Aguiar, si c’est plus sécurisant. Le tout, c’est que vous en ayez conscience. » Avec, tout de même, un petit bémol, car être dans l’instant est très créatif. C’est en regardant ce qui se passe entre vous deux, maintenant, qui est inédit et unique, que vous pouvez faire du nouveau ensemble ». Tandis qu’accrochés à nos croyances, à ce que nous imaginons de l’autre ou projetons sur lui, nous ne faisons que reproduire ce que nous savons faire, dans un dialogue de sourds. Chercher le bon ajustement Comment, dès lors, parvenir à goûter le moment présent ? En allant voir ce qui, dans le passé, nous en empêche, et comment nos peurs et nos souffrances se réactualisent aujourd’hui. Après quelques années de thérapie, et même s’il me reste du chemin, je sais que les revisiter m’a bien aidée à les cicatriser. Accepter ce qui a été, c’est aussi endosser votre responsabilité aujourd’hui à changer les choses », me dit Katia Denard. C’est également avoir conscience que vos expériences anciennes ont modelé votre façon d’être, de percevoir la réalité, et que vous l’abordez avec votre subjectivité », m’explique en écho la psychiatre Stéphanie Hahusseau. Faire le lien entre hier et demain, tirer le fil entre ce qui m’a construite et mes projets me permet de savourer pleinement mon existence aujourd’hui. En revenant à votre relation amoureuse et en constatant qu’elle est solide, satisfaisante, vous pouvez aussi avoir confiance et vous rassurer l’expérience du moment vous prouve que le passé ne se reproduit pas », expose Marie-José de Aguiar. À moi, ensuite, de trouver le bon ajustement avec le présent. M’en protéger ou le remettre à plus tard, lorsqu’il n’est pas adéquat. M’y plonger pleinement quand il m’est agréable. Ou le faire durer des heures quand je le trouve un peu trop court. Avec la sensation délicieuse et inouïe de pouvoir arrêter le temps. Pour aller plus loin Épicure, philosophe de l’ici et maintenant Parler d’épicurisme revient à penser immédiatement bonne chère, existence consacrée au plaisir et à la satisfaction de toutes nos envies. Pourtant, la philosophie d’Épicure 341-270 av. est un peu plus complexe. Dans sa conception de la vie, il rappelle qu’à tout moment il faut parvenir à vivre l’instant présent pour mieux se soustraire à une angoisse majeure celle de la mort. Dans sa fameuse Lettre à Ménécée, il explique qu’il est inutile de s’en faire pour un avenir hypothétique, incertain, qui ne dépend pas de nous et qu’on ne saurait maîtriser. S’angoisser inutilement pour le futur ne sert qu’à gâcher le présent. D’où l’importance de s’imposer quatre règles de vie ne pas craindre les dieux ; ne pas craindre la mort ; le bien est facile à atteindre ; on peut supprimer la douleur. Un moyen de vivre sans que l’âme soit troublée », principe qu’Épicure nomme ataraxie. Elsa Godart Et quand le moment présent est trop dur ? Un deuil, une maladie, des fins de mois angoissantes… On donnerait tout pour faire autre chose, être ailleurs, avec des gens dont l’instant présent est joyeux et contagieux, quand le nôtre est sombre et oppressant. Pour le moine bouddhiste Thich Nhât Hanh, mieux vaut pourtant reconnaître notre douleur, la prendre dans nos bras comme une maman avec son bébé qui pleure » et, ainsi, petit à petit, attendre qu’elle s’apaise. La décrire afin de l’apprivoiser, conseille la psychiatre Stéphanie Hahusseau. Est-ce qu’elle brûle, est-ce qu’elle tord le ventre ? Est-ce qu’elle est ronde, pointue ? » Certains préfèrent se rendre utiles en faisant du café pour toute la famille endeuillée, ou aller courir et ne penser qu’à leur foulée. Une manière comme une autre de s’appuyer sur l’instant – une cuillerée de sucre après l’autre – ou de revenir à sa respiration.
Lesmoments de bonheur apparaissent lorsque que nous sommes entièrement dans le moment présent, sans arrière-pensée, sans se soucier d’autre chose que de ce que nous
Publié le 12 mai 2006 par Gérard Le bonheur ça n'est pas grand-chose Madame ? C'est du chagrin qui se repose Alors Il ne faut pas le réveiller Le bonheur.. QU'EST-C'QUE C'EST ? Leo Ferre
Leprésent est la seule réalité à notre portée : le passé nous a échappé et le futur ne nous appartient pas. Or, nous passons beaucoup de temps à regretter l’un et à appréhender l’autre. Ne pas vivre le moment présent, c’est donc tout simplement vivre dans une illusion. Être dans « l’ici et maintenant », ce n’est pas se
Le bonheur passe par la capacité à profiter de l’instant Présent, être ici et maintenant. Le désir est à la base de la souffrance qui est la première source de violence. Le désir se situe dans le futur quand nous courons après la réussite ou un bien matériel. Il se situe dans le passé quand nous n’acceptons pas d’intégrer les expériences que nous avons vécues. Enfin il peut se situer dans le Présent quand nous laissons les stimuli externes nous attirer telles des lampes un papillon de nuit. S’affranchir du désir, c’est accepter le monde tel qu’il est, c’est accepter que les moyens sont aussi importants que la fin, c’est accepter les expériences comme un don de Dieu. C’est tout simplement suivre la voie de la non-violence active qui est le refus de toute forme de violence. Heureusement pour le futur de l’humanité, l’être humain n’a pas de nature figée. Il est intention et dépassement. C’est pourquoi j’aimerais partager avec vous la grande confiance qui m’anime en sa capacité de dépasser la souffrance et de prendre conscience qu’aimer le moment Présent est une grande étape sur la voie du bonheur. Votre humble serviteur. M. K. Gandhi
pzMq. eos07wjlcn.pages.dev/217eos07wjlcn.pages.dev/158eos07wjlcn.pages.dev/376eos07wjlcn.pages.dev/17eos07wjlcn.pages.dev/318eos07wjlcn.pages.dev/150eos07wjlcn.pages.dev/280eos07wjlcn.pages.dev/232eos07wjlcn.pages.dev/196
le bonheur c est l instant présent