🐈‍⬛ Titre De Michael Jackson Tire De L Album Thriller

2 Bad (1987) Popularisé par le clip du titre « Bad » réalisé par Martin Scorsese, l’album réussit à atteindre les 45 millions de copies vendues et à classer 5 de ses singles, numéro 1. 3. Dangerous (1991) Cet opus signe la première collaboration entre Michael Jackson et la maison de disque Sony Music. Il comporte les titres

Mort de Manu Dibango "Soul Makossa", un morceau culte multi-samplé Rihanna, Michael Jackson, Will Smith, Jay Z ou Booba tous ont repris le jazzman au saxophone dans leurs chansons. MUSIQUE - “Papy groove” s’en est allé. Ce mardi 24 mars, le chanteur camerounais Manu Dibango est décédé des suites d’une contamination au coronavirus à l’âge de 86 ans, ont annoncé ses proches sur la page Facebook de l’artiste. Le saxophoniste aux 60 ans de carrière aura marqué plusieurs générations, notamment avec le morceau “Soul Makossa”. Sortie en 1972, cette chanson n’était au départ que la face B d’un 45 tours dont le titre phare était un hymne pour l’équipe de foot du Cameroun à l’occasion de la Coupe d’Afrique des Nations. Le titre, mélange de l’influence de James Brown et du rythme traditionnel camerounais makossa, a depuis connu mille vies. David Mancuso, DJ mythique des soirées “The Loft” à New York dans les années 1970, aurait déniché le disque de Manu Dibango dans un disquaire de Brooklyn avant d’en faire l’un des hymnes de ses nuits. Il est rapidement imité par Franckie Crocker, aussi DJ mais surtout animateur de WBLS, la station de radio de musique noire à New York. C’est de cette façon que le gimmick rythmé de “Soul Makossa” arrive aux oreilles de la star de la pop, Michael Jackson et de son coproducteur Quincy Jones. Dans le titre “Wanna be startin’ something”, extrait du mythique album “Thriller” sorti en 1982, MJ sample allègrement Manu Dibango. Accusé de plagiat par l’artiste camerounais, les deux trouvent un accord financier. Il s’agissait pourtant du premier sample d’une très longue série. En 1997, on entend le makossa de Manu Dibango dans le titre “Gettin’ Jiggy With It” de Will Smith. La même année, Jay Z reprend aussi le rythme du jazzman dans le morceau “Face Off” en featuring avec Sauce Money. En 2007, Rihanna sample la partition vocale de Michael Jackson dans “Don’t stop the music” – et donc le “Soul Makossa” de Quincy Jones au passage. Tandis que Kanye West, en 2010, chante “Ma-ma-se, ma-ma-se, ma-ma-ku-sa” sur “Lost in the world”. Sans oublier Beyoncé et Jay Z dans “Déjà Vu”, Childish Gambino dans “You see me” ou encore les Fuggees dans “Cowboys”. En France aussi, nombreux sont les artistes qui font référence au makossa un rythme traditionnel camerounais en fait de Manu Dibango. C’est le cas de Booba dans “DKR” qui scande “Passe-moi les massa mamakossa, Mara Salvatrucha” ou plus récemment encore du titre “ pour “Manu Dibango” des rappeurs 4Keus et Niska “Le boug est tellement sale, elle ne peut même plus faire la gow. On va danser le makossa sur du Manu Dibango.” Si “Soul Makossa” est indéniablement le plus pop de ses morceaux, il est loin de résumer l’immense carrière longue de 60 ans de Manu Dibango, star internationale du jazz, dont la musique va résonner à coup sûr dans les appartements en ces temps de confinement. À voir également sur Le HuffPost Jean-Jacques Goldman reprend “Il changeait la vie” pour les soignants

Cet article date de plus de trois ans. En 1983, Michael Jackson cassait à nouveau les codes. Son clip-vidéo "Thriller" était diffusé sur MTV un ovni dans le paysage musical de l'époque. Le court-métrage qui met en scène des zombies est signé John Landis et dure quatorze minutes. Retour sur la genèse d'un clip mythique. Article rédigé par France Télévisions Rédaction Culture Publié le 27/11/2018 1237 Mis à jour le 28/11/2018 0944 Temps de lecture 1 min. "Thriller", c'est l'histoire d'un clip qui n'aurait jamais dû se faire. En 1983, Michael Jackson voit les choses en grand et demande à John Landis d'assurer le tournage. Mais entre le cachet du cinéaste des "Blues Brothers" et du "Loup-garou de Londres", les effets spéciaux et les chorégraphies de zombies, le budget du clip avoisine le million de dollars. Sa maison de disque, Epic Records, refuse de le financer. Michael Jackson a alors une idée de génie vendre aux chaînes de télévision le making-off du court-métrage pour payer le film de quatorze minutes. Mais d'autres obstacles l'attendent.... Reportage Rédaction nationale de France 3, L. Hakim / T. Breton / P. Azziza / N. Beddia / F. Curtet / N. Pagnotta Réticences religieusesMichael Jackson n'est pourtant pas au bout de ses peines... Les Témoins de Jéhovah, qui trouvent que la vidéo fait la promotion de l'Enfer, menacent de l'excommunier. La star de la pop trouve alors une parade il précise que le film ne révèle en rien ses croyances dans les forces to my strong personal convictions, I wish to stress that this film in no way endorses a belief in the occult. Réticences liées à sa couleur de peauReste à surmonter une ultime difficulté prouver à MTV que les Noirs ont leur place à l'antenne. La chaîne rechigne alors à diffuser les titres de chanteurs noirs. Finalement, son clip "Thriller" passera pour la toute première fois à la télévision le 2 décembre clip est entré en 2009 dans le catalogue de la Bibliothèque nationale du Congrès, aux Etats-Unis. L'institution sélectionne chaque année 25 films remarquables "sur le plan culturel, historique ou esthétique", des "œuvres d’une importance durable pour la culture américaine". "Thriller" est aussi l'album le plus plébiscité au monde d'après le Guinness World Record avec plus de 66 millions d'exemplaires vendus même si les Eagles l'ont récemment détrôné grâce à la prise en compte du streaming aux Etats-Unis. Prolongez votre lecture autour de ce sujet tout l'univers Pop

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