Jâai Ă©crit cet article pour soutenir Jean Luc MĂ©lenchon et lâUnion populaire aux beaucoup dâentre nous, je suis infiniment déçu de notre nouvelle dĂ©faite si prĂšs du ne faut pas perdre espoir et continuer Ă lutter encore, chacun comme il le peut. Les lĂ©gislatives Ă venir constituent peut-ĂȘtre une opportunitĂ© de gouverner, Ă tout le moins une possibilitĂ© dâinflĂ©chir la politique du futur que jamais il nous faut un changement radical et le moyen le plus sĂ»r dây parvenir serait lâĂ©lection dâun gouvernement grĂące Ă ce texte je rĂ©ussis Ă convaincre ne serait-ce quâune petite poignĂ©e dâĂ©lecteurs supplĂ©mentaires de voter pour la nouvelle union populaire, alors je serai satisfait. Je crois en la nĂ©cessitĂ© dâun changement radical pour que la France avance dans le 21Ăšme siĂšcle dâune façon constructive et positive, et pour les français, et pour le reste de lâ radical, je nâentends pas violent, mais consĂ©quent. Ce changement nâest pas seulement nĂ©cessaire, il est tout Ă fait parmi les candidats en lice dans cette prĂ©sidentielle de 2022 je ne vois quâune personne incarnant un tel changement susceptible de lâemporter. Câest comme vous lâavez compris Monsieur le dĂ©putĂ© Jean-Luc continuerai donc de voter Ă gauche malgrĂ© les Ă©pisode Hollande et consorts, car je crois en la possibilitĂ© de mener une politique responsable et progressiste qui poursuive des idĂ©aux et qui ne se fixe pas pour seul but de permettre au marchĂ© Ă©conomique un dĂ©veloppement faut changer promptement, avec urgence. Il y a urgence Ă prendre soin de la planĂšte, de la nature dont nous dĂ©pendons et des femmes et hommes que nous changement doit ĂȘtre profond et il doit se faire autant dans la politique Ă Ă©tablir que dans les consciences ce changement est dâautant plus possible quâil est profond. Car les consciences, nous sommes tous libres de les changer. Il nous appartient de mener nos vies dâune maniĂšre un peu diffĂ©rente afin de prĂ©server ce monde et mĂȘme de tĂącher dans la mesure du possible de rĂ©parer ce qui a Ă©tĂ© dĂ©truit et de lâamĂ©liorer..Ainsi ma prĂ©fĂ©rence va Ă Jean-Luc MĂ©lenchon car il propose vraiment de protĂ©ger lâenvironnement et de faire de cette protection une mĂȘme, il aborde de front le thĂšme tout aussi central de la protection de lâhumain, de la nĂ©cessitĂ© dâavoir des conditions de travail non seulement dignes mais meilleures, ici en France, mais aussi ailleurs dans le monde. Et Ă cette fin dâopĂ©rer un contrĂŽle de qualitĂ© environnementale et humaine des produits entrant sur le territoire propose aussi dâaider les pays pauvres Ă se dĂ©velopper, et câest cette façon, la seule juste, de considĂ©rer lâhumanitĂ© comme un tout, qui me rend ce candidat est un des seuls Ă proposer un projet dâavenir pour le pays quand tristement, les autres candidats ne montrent pour la plupart quasiment aucune initiative, aucune autre ambition pour le pays, que celle de retrouver âla croissanceâ. Il un des seuls qui propose des idĂ©es, les autres se contentant de gĂ©rer le rĂ©el, incapables dâamorcer un dĂ©but de changement, enfermĂ©s Ă leur escient dans leur carcan du principe de ne peux pas dire que je sois dâaccord avec toute sa mĂ©thode mais quâimporte, Jean-Luc MĂ©lenchon est le bon candidat. Dâailleurs qui est dâaccord sur tout ? Le dĂ©bat est la richesse de notre dĂ©mocratie. Je pense que cet homme peut faire du bien Ă la jâespĂšre que les idĂ©es que jâexposerai ici, en ce quâelles vont en grande partie dans le mĂȘme sens que celles de ce candidat, vous en sujets Ă traiter sont dâune quantitĂ© dĂ©routante, vu quâil nous faut repenser un horizon nouveau pour nos sociĂ©tĂ©s dĂ©mocratiques. Aussi voudrais-je apporter ma modeste contribution dans quatre paragraphes traitant de quatre thĂšmes dâune façon ouverte, pensĂ©s comme des pistes de rĂ©flexion sur ce que je crois ĂȘtre des thĂšmes cruciaux dans la tĂąche qui nous incombe de construire un monde durable et faire Ă tout prix » ou la croissance pour seul horizonNous serions pauvres, et promis aÌ une baisse de niveau de vie reÌeÌquilibrage en faveur de l'Asie serait en passe de survenir et nous, occidentaux outrageusement deÌpensiers, devrions treÌs prochainement nous serrer la ceinture pendant des anneÌes jusqu'aÌ reÌeÌquilibrer les deÌpenses et ainsi assainir les finances publiques. Il nous faudrait travailler plus, plus longtemps, retarder lâĂąge du dĂ©part Ă la retraite. Sacrifier les droits des travailleurs pourtant acquis de haute prĂȘche libĂ©ral qui ne dit pas son nom, subtil mĂ©lange de faits Ă©conomiques rĂ©els et de projections politiques, et qui se prĂ©sente comme une Ă©vidence absolue, est martelĂ© en permanence dans les meÌdias. Câest lâorthodoxie Ă©conomique que lâon nous sert Ă longueur de France, pauvre ? Je ne peux que ressentir une profonde indignation aÌ constater autour de moi la vivaciteÌ de cette assertion dĂ©libĂ©rĂ©ment mensongeÌre. Il y a des pauvres en France, et de plus en plus, mais le pays est riche. RĂ©pĂ©ter Ă tue-tĂȘte que lâĂ©conomie va mal », que la France va mal », que notre identitĂ© est menacĂ©e » câest faire Ă©tat dâune liste de symptĂŽmes soigneusement sĂ©lectionnĂ©s, pour mieux occulter les problĂšmes vĂ©ritables, peu ou prou passĂ©s aux oubliettes par les candidats de droite la rĂ©partition des richesses et le saccage de notre environnement. GrossiĂšre manipulation, consistant Ă appuyer fortement sur des problĂšmes relativement mineurs pour dĂ©tourner lâattention des Ă©lecteurs et ne pas aborder les questions de qui voyage souvent, quand je rentre en France, le pays me semble dâune richesse France est riche, treÌs riche, culturellement et Ă©conomiquement et ceux de nos politiques qui passent leur temps Ă agiter le chiffon rouge anxiogĂšne du dĂ©clin sont soit des inconscients, soit des menteurs. Mais mon propos dans cet article n'est pas de tenir un reÌquisitoire contre le manque de vision ou les mensonges de nos dirigeants, mais de montrer quelle nouvelle voie il est possible d'emprunter pour sortir de cette crise, qui n'est pas tant financieÌre qu'ideÌale, car c'est bien d'une crise des ideÌes dont nous sommes en ces temps crise des ideÌes si grave que les experts de tous les domaines et de tous les bords qui reÌpandent leur preÌtendue expertise dans tous les meÌdias ont perdu leur faculteÌ de jugement. Tout est jugeÌ aÌ l'aune, non pas d'un productivisme, mais d'un "faire".Car, entraiÌneÌs que nous sommes par l'eÌlan irreÌsistible de la course aÌ la production, le champs seÌmantique et conceptuel s'en est trouveÌ bouleverseÌ pour faire accroire que faire est eÌgal aÌ dynamique de vie et repos aÌ reÌgression. Une sorte d'embrouillement intellectuel passeÌ inaperçu mais aux conseÌquences les plus funestes pour nos sociĂ©tĂ©s..Ne rien faire est devenu suspect, c'est meÌme consideÌreÌ coupable par rapport aÌ faire n'importe croissance est le remeÌde aÌ tous les maux. Croissance, axe verteÌbral de cette mystification, de ce deÌvoiement du faire. Je peux vous parier, car c'est deÌjaÌ le cas depuis 30 ans, que peu importe le taux de croissance, le choÌmage restera constant, et meÌme, me souviens encore avoir provoqueÌ les geÌmonies de mon sociologue de professeur aÌ l'universiteÌ quand dans mes travaux de recherche, j'avais affirmeÌ que paradoxalement, on devrait se reÌjouir dans un pays riche comme la France d'avoir un nombre important de choÌmeurs. âBruÌlot, pamphlet politique, du grand n'importe quoi, loin, treÌs loin de la scientificiteÌ qui sied aÌ tout travail universitaireâ.Je deÌfendais la theÌse selon laquelle graÌce aux gains consideÌrables de productiviteÌ dans l'agriculture, l'industrie et les services, il existait aujourd'hui peu de domaines ouÌ un homme ne pouvait pas accomplir seul la taÌche ouÌ un sieÌcle plus toÌt dix hommes eÌtaient situation unique dans l'histoire de l'humanitĂ© aurait dĂ» nous reÌjouir puisqu'elle nous permettait de nous libeÌrer de plus en plus du travail. En eÌnonçant ce constat arithmeÌtique, je fus traiteÌ de fou. Mais lâhistoire nous montre que, du fait de lâabsence de mĂ©canismes correcteurs efficaces, les gains de productiviteÌ sans cesse augmentĂ©s, ont abouti Ă lâaccumulation des richesses entre les mains de quelques-uns, au lieu de laisser place aÌ un partage plus des courses puisque des machines remplacent les hommes au travail, il y a des choÌmeurs. Face aÌ cette situation, plusieurs possibiliteÌs s'offrent aÌ nous. Celle qui semble la plus logique, la plus pleine de bon sens, la plus eÌquitable, la plus responsable, la plus belle, est la suivante Puisqu'il y a moins de travail pour le meÌme reÌsultat, partageons ce travail ce qui dans les faits, se traduit par une diminution consideÌrable des temps de travail et les gains ce qui permettrait aÌ chacun de continuer aÌ avoir une activiteÌ de production sociale, un salaire lui permettant de vivre et beaucoup plus de temps pour les activiteÌs de son choix, autres que celles creÌatrices des seuls besoins de lâon schĂ©matise Ă des fins dâillustration On part dâune situation oĂč dans une entreprise 50 employeÌs travaillent 40h/semaine productiviteÌ = *10 du fait de lâamĂ©lioration constante des technologiesOn arrive Ă une situation oĂč pour la mĂȘme quantitĂ© de production, on a besoin de 5 employeÌs travaillant 40h/ semaine Logiquement, si on reÌorganise les taÌches en fonction des nouvelles machines productives on arrive aÌ 50 employeÌs travaillant 4 heures par semaine ou 2 jours par mois. N'est-ce pas laÌ le deÌbut du paradis, ouÌ nous tous, libeÌreÌs de la fatigue d'une taÌche souvent ingrate, nous pourrions nous adonner aux innombrables activiteÌs de notre choix et aux plaisirs de la vie les plus divers ?Mais ce n'est pas la voie qui a eÌteÌ choisie. La possibiliteÌ choisie est la suivante la productiviteÌ est 10 fois supeÌrieure mais le propriĂ©taire, ne va pas garder les 50 salarieÌs, les faire travailler 10 fois moins et les payer le meÌme salaire ce qui aurait eÌteÌ sympathique.Il va licencier 45 employeÌs, en garder 5 qui feront toujours 40 heures chacun, les payer le meÌme salaire et il arguera des couÌts des machines, d'entretien des couÌts de production, du montant des impoÌts, la liste de preÌtextes est infinie... ainsi augmentera ses beÌneÌfices du nombre de salaires qu'il ne paye plus. MeÌme exemple L'exploitant agricole vend pour 100 000 euro par mois, paye ses 50 salarieÌs 1000 euros, soit 50 000 eurosil lui reste 50 000 euros de beÌneÌfices. Avec l'arriveÌe de la machine, il produit toujours pour 100 000 euros par mois mais pouvant se contenter de 5 salarieÌs, ne paie que 5000 euros de lui reste 95 000 euros, il a augmenteÌ ses beÌneÌfices de 90%. Le problĂšme, c'est que nous avons deÌsormais 45 sĂ»r, tout cela est extrĂȘmement schĂ©matique. Mais pas tellement en fait. Je veux par ces exemples un peu caricaturaux, non pas faire la caricature dâun systĂšme mais bien dĂ©noncer une tendance nettement audible ces derniers temps dans les mĂ©dias, et qui est opposĂ©e Ă nos deux candidats de gauche quand ils abordent ce sujet de la rarĂ©faction du discours tenu par Mr Lenglet, lâĂ©conomiste attitrĂ© de France 2 et donc qui bĂ©nĂ©ficie dâune large audience est un parfait exemple de cette contre vĂ©ritĂ© Ă la peut sembler un dĂ©tail, mais ce nâest pas un dĂ©tail. Absolument travail humain nĂ©cessaire Ă lâeffectuation dâune tĂąche donnĂ©e est en constante diminution du fait des constants gains en productivitĂ©, consĂ©quence de la progression des sciences et on entend souvent dire le contraire ces derniers temps, chiffres, statistiques et tableaux Ă lâappui. Mais lâon mĂ©lange joyeusement toutes sortes de donnĂ©es qui nâont rien Ă voir les unes avec les autres, pour aboutir Ă des constructions opaques qui viennent appuyer notre parti argumente que certains secteurs ne parviennent pas Ă recruter, quâil y a plus de travailleurs aujourdâhui quâil y a 100 ans et autres rhĂ©toriques vaseuses que lâon nâoserait pas prĂ©senter Ă un collĂ©gien dans un problĂšme de sĂ»r, il y a plus de travailleurs aujourdâhui quâil y a 100 ans puisque la population mondiale a presque quadruplĂ© et que la population française et passĂ©e de 40 millions Ă 65 millions en un siĂšcle et que les femmes ont enfin Ă©tĂ© comptabilisĂ©es comme participant Ă lâĂ©conomie sĂ»r, des emplois se crĂ©ent tant que lâon dĂ©cide de crĂ©er de plus en plus dâobjets et services Ă lâutilitĂ© douteuse, ce qui ne signifie pas que les gains en productivitĂ© nâaboutissent pas Ă une rĂ©duction de lâeffort humain nĂ©cessaire Ă lâaccomplissement dâune mĂȘme lâon mĂ©lange allĂšgrement ces diverses donnĂ©es pour vous servir un conclusion malhonnĂȘte intellectuellement mettant en doute la courbe absolument logique dâune rarĂ©faction du cela est faux. Et je demande au lecteur de bien mĂ©diter cette phrase et de bien mĂ©diter sur les implications que ce constat suppose pour lâorganisation sociale, pour le pays, et pour le travail humain nĂ©cessaire Ă lâeffectuation dâune tĂąche donnĂ©e est en constante diminution du fait des constants gains en productivitĂ©, consĂ©quence de la progression des sciences et aux consĂ©quences rĂ©elles des gains en productivitĂ© et de la rarĂ©faction du travail qui sâensuit Comment faire pour nourrir ces pauvres bougres qui n'ont pas de quoi se payer aÌ manger. Un manger qui existe soit dit en bien, puisque le patron n'entend pas partager ses beÌneÌfice, il faut leur trouver un nouveau travail, mais preÌciseÌment, il n'y a plus de travail du fait des machines. Et c'est laÌ qu'intervient le mythe imparable et salvateur de la croissance. Dieu en personne a trouveÌ son incarnation dans la seconde moitieÌ du 20eÌme sieÌcle. Pas de travail ? Nous allons en creÌer ! Comment cela ? Les besoins de tous ne sont-ils pas deÌjaÌ satisfaits ? Si la nourriture, les maisons, les veÌtements, sont deÌjaÌ disponibles en quantiteÌ suffisante pour tous. En inventant des besoins bien suÌr, en produisant une masse infinie d'objets plus ou moins inutiles. En polluant la planeÌte d'une quantiteÌ astronomique de deÌchets. En profitant au passage de guerres meurtrieÌres peu importe qui les fait et au nom de quoi pour faire tourner un complexe militaro-industriel qui se porte mieux que est le visage du dogme imposeÌ de la croissance faire, faire n'importe quoi, faire, pourvu que cela produise de l'argent, et si au passage ça crĂ©e des emplois, tant mieux, cela calmera les ardeurs subversives des armĂ©es de voilaÌ comment en quelques deÌcennies, l'homme qui graÌce aÌ la fulgurante progression des sciences et technologies se trouvait en mesure de se libeÌrer du poids de la lutte pour la survie s'est enchaiÌneÌ, sous l'impulsion et aÌ la faveur d'une classe et câest lĂ une des difficultĂ©s, les actionnaires sont bel et bien une classe mais trĂšs difficile Ă cerner et Ă circonscrire physiquement, voire Ă incarner aÌ la production massive d'un monde infini d'objets sous lâĆil complice du Dieu croissance. Combattants devant l'eÌternel pour la reproduction de l'espeÌce sur le point d'obtenir notre libeÌration, nous nous sommes constitueÌs esclaves d'un dogme absurde, ravageur et aujourdâhui tout Ă©vidence funeste, nous lançant dans la course folle du productivisme qui usurpe son nom et bientoÌt dans ce que jâappelle l'esprit du faire ».Pourtant, un autre monde est possible. Plus logique, meilleur, plus harmonieux, plus juste, plus beau. Il est laÌ, tapi en nous, aÌ porteÌe d'imagination. Ce n'est pas une utopie, il nous faut juste recouvrer notre imagination pour commencer la construction de ce monde diffeÌrent. J'aimerais non pas dessiner la figure de cet autre monde possible, cette tĂąche est bien trop grande et nous appartient Ă tous, mais faire reÌver le plus possible Ă une vision diffĂ©rente de la socieÌteÌ pour que tous les jeunes d'aujourd'hui se libeÌrent de la camisole mentale dans laquelle on veut les forcer et ouvrent pour l'humaniteÌ l'eÌre d'un monde plus intelligent et plus beau. NâĂ©coutez surtout pas ceux qui vous disent que votre projet nâest pas rĂ©aliste car les marchĂ©s sanctionneront votre initiative » qui sort de lâ surtout pas ces gardiens de lâordre qui ne nous proposent rien dâautre que de poursuivre le prĂ©sent, câest-Ă -dire de ne rien faire. Non, la politique nâest pas morte face Ă lâĂ©conomie. Il faut juste que nous daignions nous en ensemble de ce Ă quoi pourrait ressembler une sociĂ©tĂ© dĂ©mocratique plus serait en grande partie deÌmateÌrialiseÌe, au sens oĂč les biens culturels auraient quantitativement pris lâascendant sur les biens pourrait tout de meÌme eÌtre riche de ces biens immateÌriels-les biens speÌciaux que sont lâespace physique m2 » maison, la nourriture, l'eau et l'air feraient l'objet d'un reÌgime speÌcifique diffeÌrent du marcheÌ /qui ne les placerait pas directement sur le ne serait plus une option mais une eÌvidence et une obligation-le recyclage serait une immense industrie-le temps libre bien plus important-les arts, la science et la recherche beaucoup plus valoriseÌs-l'investissement bancaire serait strictement contrĂŽlĂ© par lâĂtat afin de limiter la spĂ©culation-la modification de lâesthĂ©tique des paysages encadrĂ©e juridiquementTout serait un plus lent mais en fait plus temps libre serait, comparĂ© Ă ce qui se fait aujourdâhui, immense, ce qui engendrerait une transformation favorable de l'eÌtre humain vers une sagesse beaucoup plus loisirs seraient intelligents, ce ne seraient plus des distractions passives mais des activiteÌs creÌatives, savoir serait le plus grand de tous les biens, l'information occuperait la place qu'occupe la richesse mateÌrielle aujourd' du souci de ne plus pouvoir se loger ou de ne plus avoir aÌ manger le lendemain, les hommes acquerraient une nouvelle stature, ceux-ci continueraient de se dĂ©velopper et de sâenrichir car le dĂ©veloppement personnel et lâenrichissement Ă©conomique tendraient de plus en plus Ă se confondre au sein dâune Ă©conomie de plus en plus dĂ©matĂ©rialisĂ©e oĂč les biens de consommations auraient une forte valeur ajoutĂ©e intellectuelle et devraient nĂ©cessairement sâinscrire dans un schĂ©ma Ă©cologique et humain prĂ©cis ne pas polluer et ĂȘtre produits dans de bonnes conditions pour les hommes.La nature aurait retrouveÌ une place centrale, y compris dans nos villes. Le faire » serait releÌgueÌ aux oubliettes de l'histoire, une eÌtrange faceÌtie d'anceÌtres qui auraient failli nous perdre et qu'avec le recul on regardera avec un sourire, comme une curieuse peÌriode ouÌ les hommes eÌtaient encore croyants, une sorte d'aÌge de pierre de la mateÌrialiteÌ, les hommes dans l'adolescence intellectuelle/conceptuelle de la technique et inconscients de leur capaciteÌ aÌ maiÌtriser leur destin, remettaient celui-ci au Dieu croissance. Oui, l'on rira de notre eÌpoque dans ce futur oĂč le faire » aura eÌteÌ remplaceÌ par le connaiÌtre » plus haute marche de la condition humaine et notre humaniteÌ de consommateurs sera remplaceÌe au terme de cette parentheÌse mateÌrialiste par une humaniteÌ de citoyens acteurs, informĂ©s et fonciĂšre et biens spĂ©ciauxC'est donc un fait notable majeur de cette entreÌe dans le 21eÌme sieÌcle que nous vivons une eÌpoque ouÌ la profusion sans preÌceÌdent de richesse mateÌrielles n'a pourtant pas conduit aÌ une deÌsalieÌnation proportionnelle des hommes. Comment se fait-il donc que l'apparente richesse ne soit pas traduite par une plus grande liberteÌ ? Plusieurs raisons sont en cause et une seule n'a pas le monopole de cette situation paradoxale. Tout d'abord l'effort humain est mal dirigeÌ. Pour une grande partie, il est en fait gaspilleÌ et pire encore, il est dirigeÌ aÌ saboter la planeÌte. Il est important pour toute politique responsable d'avoir une morale quoiqu'en disent les philosophes tĂ©lĂ©visuels de tous bords. Que signifie pour une politique posseÌder une morale ? C'est identifier sur une eÌchelle de valeurs, les entreprises, les biens, plus ou moins important pour les hommes. Fixer une Ă©chelle des prioritĂ©s, câest prĂ©cisĂ©ment faire de la politique. Ce que ne font plus nos dirigeants, consommateurs et serviteurs dâune soupe idĂ©ologique capitaliste prĂŽnant le laisser-faire et honnissant le mot morale ».Ainsi, il existe des secteurs cleÌs, en ce qu'ils sont vitaux au sens propre et c'est ce pourquoi ils doivent posseÌder un statut speÌcial, non marchand. Ainsi en va-t-il de l'habitat du m2Ainsi en va-t-il des denreÌes alimentairesAinsi en va-t-i de l'eÌnergieAinsi en va-t-il de grandes lignes de transport et de rabaÌcheÌ est toujours le meÌme le marcheÌ, par son dynamisme et son caracteÌre automatique reÌpond le mieux, en termes de vitesse, adaptabiliteÌ et diversiteÌ, aux besoins, en logements ou en planification en ce domaine aboutirait aÌ des ratages et il vaut mieux laisser le marcheÌ reÌguler l'offre en fonction de la demande. Va pour l'adaptabiliteÌ du marcheÌ. Et encore, les exemples ayant prouvĂ© la faussetĂ© de ce postulat sont je vois la question d'un regard plus critique encore. Je pense que la majoriteÌ des hommes sont logeÌs aÌ condition ».C'est aÌ dire qu'ils encourent le risque permanent d'eÌtre expulseÌs de l'endroit ouÌ ils vivent. Ils ont une eÌpeÌe de DamoclĂšs au dessus de leur dans ce chantage continu, il ne peut y avoir la seÌreÌniteÌ neÌcessaire aÌ un veÌritable eÌpanouissement. C'est peut-eÌtre un theÌme eÌculeÌ que celui du statut de la proprieÌteÌ foncieÌre mais il ne me semble pas inutile de rappeler aÌ quel point l'immobilier est une question strateÌgique, au-delaÌ de consideÌrations financieÌres. Câest la diffĂ©rence entre profit » et monopole » qui Ă©chappe au nĂ©ophyte mais qui est pourtant indispensable Ă une lecture correcte du monde faire simple, on peut possĂ©der beaucoup dâargent, cela ne signifie pas pour autant que lâon se trouve dans une situation de monopole. Cela ne signifie pas non plus que lâon possĂšde une partie physique importante du dit, il y a mille maniĂšres dâĂȘtre riche. Je peux ĂȘtre milliardaire et vivre dans un 100 mĂštres carrĂ© Ă Paris et avoir un compte en banque trĂšs garni nous nâabordons pas ici la question de ce que fait la banque avec mon argent. Je peux aussi ĂȘtre milliardaire et possĂ©der des milliers dâappartements Ă Paris que je loue Ă des prix Ă©levĂ©s ou prohibitifs. Alors je pĂšse sur le marchĂ©, je profite de mon pouvoir pour monopoliser des biens vitaux et faire monter les prix, je spĂ©cule...Je peux aussi ĂȘtre milliardaire et investir dans une entreprise de recherche mĂ©dicale. Je peux ĂȘtre milliardaire et construire des parcs Ă thĂšme au goĂ»t douteux, etc.. Mon propos est ici de souligner combien la question de la richesse est plus complexe quâune simple histoire de y a Ă mon avis des biens qui doivent faire lâobjet dâun rĂ©gime particulier, ce sont les biens vitaux que sont Le logement, lâeau, lâair et la liste bien-sĂ»r peut et doit ĂȘtre rallongĂ©e et inclure Ă notre Ă©poque moderne, lâĂ©nergie, une partie des systĂšmes de transports, les rĂ©seaux de communication de lâinformation. Il appartient Ă la sociĂ©tĂ© de se saisir Ă travers la politique de la question de la propriĂ©tĂ© de ces biens Ă©lĂ©mentaires et de dĂ©cider lesquels et en quelles proportions, doivent ĂȘtre retirĂ©s du rĂ©gime de la propriĂ©tĂ© privĂ©e classique. Je vois dĂ©jĂ les boucliers se dresser et crier au communisme stalinisme. Ne vous laissez pas intimider. Il nây a rien dans cette idĂ©e de sortir les biens Ă©lĂ©mentaires Ă la vie du rĂ©gime marchand classique, qui constituerait une restriction Ă la libertĂ© dâentreprendre Ă©rigĂ©e au passage en sacro-saint principe sociĂ©tal. Câest au contraire un progrĂšs considĂ©rable pour toute la sociĂ©tĂ© que de consacrer ces principes. Une avancĂ©e que la France, pays riche et organisĂ© se doit Ă elle-mĂȘme. Une avancĂ©e qui nous fera tous progresser, comme lâont fait en leur temps les congĂ©s payĂ©s, la semaine de cinq jours, le droit Ă lâĂ©cole publique et cette question de la propriĂ©tĂ© du principe que les hommes naissent libre et eÌgaux en droits ».Heureux d'avoir acquis le statut d'hommes libres depuis la ReÌvolutions de 1789, j'aimerais avancer un constat simple tireÌ de l'expeÌrience des deÌmocraties capitalistes. Personne ne me contestera sur le principe unanimement accepteÌ qui eÌnonce le droit de tous les hommes aÌ la aÌ y regarder de plus preÌs, ce droit essentiel, ce preÌalable aÌ tous les autres droits, ce princeps sans lequel tout le reste est vacillant, ne semble pas trouver une activation claire dans la technique juridique, dans sa mise en Ćuvre concreÌte. Qui a veÌcu ne serait-ce quâun temps court dans la rue, sait que le plus fatiguant dans cette affaire, ce n'est pas de ne pas dormir, mais c'est de ne pas avoir de lieu Ă soi, de nid, ne pas avoir de refuge. Quiconque a connu la rue sait que la vie y est vite eÌreintante du fait que pour pouvoir se reposer, il faut un lieu ouÌ l'on est physiquement proteÌgeÌ, Ă lâabri, en sĂ©curitĂ© ouÌ l'on peut relaÌcher sa vigilance. En d'autres termes, sans maison qui plus est, si l'on observe la vie animale, câest un besoin neÌcessaire et assouvi chez toutes les espĂšces, il est erroneÌ de dire que la vie est possible. Je soutiens que le droit aÌ la vie, au sens le plus litteÌral, c'est aÌ dire, le droit Ă la vie biologique n'est pas assureÌ par le simple fait de ne plus eÌtre esclave de quiconque ou ne plus ĂȘtre menacĂ© par les fait, ce n'est meÌme pas la meÌme question. On pourrait mĂȘme se demander avec une pointe dâironie bien sĂ»r si prisonnier mais logeÌ, le droit aÌ la vie n'est pas mieux respecteÌ que libre et sans possibilitĂ© de au-delaÌ de la malice qui peut sembler se deÌgager de ce propos, est ici soulevĂ©e une question fondamentale. Je tiens Ă attirer lâattention sur le fait que le droit aÌ la vie et la liberteÌ ne sont pas exactement sur le meÌme quelque sorte, la liberteÌ sans droit aÌ la vie est comme videÌe de sa substance, deÌvoyeÌe. Or sans logement, la vie biologique est une espeÌce d'illusion. Si le corollaire du droit aÌ la vie est le logement, alors le logement ne peut en toute logique pas eÌtre un bien soumis aÌ la loi du ce principe est pourtant compleÌtement inappliqueÌ sous une foule infinie de preÌtextes. Tous les preÌtextes sont faux, tout particulieÌrement dans un pays riche comme la et veÌritable raison pour laquelle le droit au logement n'est pas appliqueÌ concreÌtement et l'habitat retireÌ du marcheÌ eÌconomique, au moins en partie, est que cela impliquerait un reÌeÌquilibrage de la hieÌrarchie sociale trop deÌfavorable aÌ la classe des posseÌdants, rentiers et entrepreneurs par l'eÌtablissement d'une eÌgaliteÌ beaucoup plus forte entre les hommes. LâĂ©cologie et le recyclageIl y a une formidable industrie du recyclage aÌ mettre en place. Quand je dis formidable, je ne maÌche pas mes cette eÌnorme industrie devrait logiquement en volume repreÌsenter la moitieÌ de l'industrie. Cette industrie n'a que des avantages -elle pallie au manque de plus en plus cruel de matieÌres diminue l'extraction toujours polluante pour l'environnement de ces reÌduit drastiquement les couÌts d'approvisionnement en matieÌres premieÌres pour la France. L'objectif raisonnable doit eÌtre Ă moyen terme un recyclage de 100% de tous les objets et ce recyclage aÌ 100% n'est pas possible techniquement, alors cela signifie que des mateÌriaux qui n'auraient pas duÌ eÌtre employeÌs l'ont eÌteÌ. La chaiÌne de production est donc aÌ revoir. Toute production doit faire l'objet d'un controÌle eÌcologique minutieux lors de ou avant sa diffusion. Car comme le dit treÌs bien Jean-Luc MeÌlenchon, l'eÌcologique c'est le social. Tout produit doit, sous peine d'impossibilitĂ© dâĂȘtre produit en sĂ©rie et diffusĂ© sur le marchĂ©, eÌtre impeÌrativement conçu de façon aÌ posseÌder un mode de recyclage. Il doit eÌtre mis sur le marcheÌ avec son protocole de deÌmontage recyclage. Les entreprises qui recyclent elles-meÌmes leur produits ou qui s'en chargent doivent eÌtre massivement exoneÌreÌes d'impoÌts. De meÌme pour les entreprises qui favorisent la reÌparation des produits, c'est-aÌ-dire, le long terme. Cette industrie devrait crĂ©er massivement des donne un avantage strateÌgique conseÌquent aÌ la France en la rendant moins dĂ©pendante de lâimportation de matiĂšres premiĂšres. Elle est le meilleur investissement pour les futures geÌneÌrations, en soulageant l'environnement de sollicitations trop massives. Elle repreÌsente la mise en place d'un systeÌme productif eÌthiquement responsable. Si l'on contraint les entreprises aÌ des conditions de production eÌcologiquement respectueuses produits importeÌs + entreprises françaises aÌ l'eÌtranger aussideÌs lors, le nombre dâentreprises exerçant une activiteÌ socialement irresponsable devrait se restreindre de lui-meÌme. Ne devraient subsister que les entreprises socialement utiles et socialement neutres. Rien n'empeÌche aÌ quelqu'un de faire fortune dans les activiteÌs eÌconomiques socialement neutres et en toute logique la socieÌteÌ a grand inteÌreÌt aÌ encourager financieÌrement les activiteÌs eÌconomiques socialement utiles par des subventions par exemple. Neutre » signifiant ici conforme Ă un droit du travail exigeant et Ă une rĂ©glementation environnementale rien ne s'oppose aÌ l'eÌtablissement d'un nouveau capitalisme intelligent tout comme il est possible d'avoir une dictature verte.Mais il est bien Ă©vident que les entreprises, si elles nây sont pas forcĂ©es par une rĂ©glementation stricte sont peu enclines Ă faire des choix respectueux de lâenvironnement et avantageant leurs salariĂ©s si ces choix reprĂ©sentent des coĂ»ts supplĂ©mentaires et diminuent leur profits. Ceci est dâautant plus vrai que les propriĂ©taires ne sont plus connectĂ©s physiquement aux grandes entreprises qui sont souvent possĂ©dĂ©es par de conglomĂ©rats dâactionnaires. Je tiens Ă insister sur la forte liaison qu'il y a Ă mon avis entre le respect de normes Ă©cologiques drastiques et l'Ă©tablissement d'une vraie justice exemple, si l'on prend l'Ă©cologie au sĂ©rieux et donc qu'on y inclut l'homme, des conditions de production dangereuses pour la santĂ© humaine ne doivent pas ĂȘtre donc toute l'industrie qui doit ĂȘtre repensĂ©e, rĂ©organisĂ©e, pour que dans la chaĂźne, leprocessus de production soit agrĂ©able aux hommes, et pour qu'en bout de chaĂźne, la production soit respectueuse de notre environnement..Il faut un grand plan de rĂ©amĂ©nagement industriel, c'est toute la sociĂ©tĂ© qui doit ĂȘtre mobilisĂ©e. Probablement les dĂ©tracteurs de la gauche scanderont-ils l'impossibilitĂ© d'un tel l'histoire nous donne raison plusieurs fois, en des circonstances pourtant incomparablement plus dramatiques. L'effort d'aprĂšs-guerre n'a-t-il pas Ă©tĂ© la redirection de l'industrie et l'impulsion de lâĂtat vers des industries alors futuristes ?La transition verte est une vĂ©ritable aubaine, une occasion de se servir d'une dynamique pour rĂ©organiser la production et la rĂ©partition France est bloquĂ©e de ce que les dirigeants politiques qui se sont succĂ©dĂ©s au pouvoir n'ont eu ni le courage, ni l'indĂ©pendance nĂ©cessaire Ă prendre des dĂ©cisions innovantes qui remettaient en cause des pans importants de l'Ă©conomie française. Ils ont Ă©tĂ© guidĂ© par les intĂ©rĂȘts de nos grandes entreprises qui ne se confondent pas avec l'intĂ©rĂȘt du pays contrairement Ă ce que l'on veut nous faire croire et par des perspectives Ă trĂšs court terme poussĂ© Ă cela par un manque de vision et par une logique Ă©lectoraliste qui les incite Ă ne rien faire qui puisse froisser lâintĂ©rĂȘt dâentreprises puissantes, de syndicats, dâĂ©lecteurs, dâĂ©lecteurs potentiels, dâordres professionnels, bref Ă ne rien faire de significatif, Ă renoncer Ă la politique en quelque ingĂ©nieurs foisonnent, nos centres de recherche sont Ă©minemment reconnus et bien qu'on se plaigne souvent du manque d'investissement dans divers secteurs de la recherche nous avons une population Ă©duquĂ©e, la matiĂšre grise est Ă avons une agriculture solide et efficace mais qui est en train de sâĂ©puiser, enfermĂ©e dans un schĂ©ma productiviste issu dâune autre Ă©poque et quâil faut aider Ă prendre le tournant Ă©cologique faut organiser la transition progressive vers une agriculture plus durable, un autre type d'agriculture, plus respectueuse de l' mĂȘme, il faut absolument mettre fin au monopole des supermarchĂ©s, casser leur entente sur les prix et rĂ©tablir une valeur juste pour la production le secteur bancaire, il faut lancer une nouvelle politique qui favorise massivement les prĂȘts aux entreprises qui dĂ©cident de faire des efforts dans le respect de l'environnement. Et si le secteur bancaire est trop frileux, lâĂtat doit lui-mĂȘme multiplier les organismes de prĂȘts verts ».Il faut construire massivement du logement et affecter spĂ©cifiquement Ă cet effet une industrie qui construise des modĂšles de logements intelligents. C'est Ă dire Ă pensĂ©s pour une trĂšs longue durĂ©e. Les nouvelles technologies de production dâĂ©nergies renouvelables et de recyclage foisonnent panneaux solaires, Ă©olien, eau recyclĂ©e, dĂ©chets organiques compostĂ©s, etc... et il est impĂ©ratif dâen tirer un profit maximal immĂ©diatement pour le plus grand bien de notre environnement et de notre il faut trouver le bĂątiment le plus efficace dans une vision Ă long terme, c'est toute une industrie Ă massivement signifie aussi procĂ©der Ă un rĂ©amĂ©nagement du qu'il existe un projet du grand Paris, il serait peut-ĂȘtre plus judicieux d'amorcer une dĂ©concentration des structures et du pouvoir de la capitale vers la faut cesser le tout automobile et rĂ©quisitionner nos constructeurs s'il le faut pour rĂ©tablir le rail et des formes de transport plus collectives et plus efficaces Ă©nergĂ©tiquement et transition verte passera par un ralentissement de l' agitation Ă©conomique » mais par une plus grande efficacitĂ© rĂ©elle, c'est-Ă -dire prenant en compte le coĂ»t environnemental et humain en plus du coĂ»t faut rĂ©ussir Ă moyen terme Ă mettre fin au culte de l' contre faire, connaissance contre consommationĂ propos de la rechercheIl faut dĂ©velopper de grands projets spatiaux pour 1 prouver l'intĂ©rĂȘt de la recherche, la supĂ©rioritĂ© du savoir sur la consommation. Dans cesens, la science impulsĂ©e par lâĂtat doit donner l' Symboliquement, comme un gage que la transition verte et le ralentissement Ă©conomiquene signifie pas tourner le dos Ă la modernitĂ© mais bien au contraire l'embrasser avec nos contradicteurs se feront un devoir de se lancer dans ce mensonge selon lequel toute rĂ©glementation stricte Ă©quivaut Ă une rĂ©gression de la France, un recul face Ă la modernitĂ© et que sais-je encore. Alors que câest exactement lâinverse, câest une occasion unique pour nous de montrer lâexemple, dâĂȘtre les pionniers dâun nouveau modĂšle Ă©conomique et social plus moderne dĂ©passant le conflit du capitalisme avec lâhomme et la nature. Câest lâoccasion pour nous de montrer une nouvelle faut investir massivement dans la recherche mĂ©dicale, et la santĂ©, pilier indispensable d'une vie de qualitĂ© pour doit montrer l'exemple. Comment ?LâĂtat doit favoriser l'Ă©ducation en grand la possibilitĂ© dâĂ©tudier toute la vie durant, lâusage massif des nouvelles technologies de la communication pour la diffusion de tous les savoirs. France Culture en est un brillant exemple. Il faut favoriser la multiplication de structures et lieux d'Ă©changes et de transmission des doit lĂ aussi montrer l'exemple en crĂ©ant de nouveaux lieux, grands, beaux, modernes, avant-gardistes, publics, de culture et de savoir, de rĂ©union et rencontre comme le Centre Pompidou en est un bon exemple Ă doit encourager la transmission d'une culture scientifique, trop cantonnĂ©e Ă un public de spĂ©cialistes et pourtant aujourd'hui indispensable Ă comprendre le monde contemporain dans ses enjeux Ă©conomiques, politiques et environnementaux, tous traversĂ©s par les transformations technologiques rapides. Un peuple averti est le meilleur garant d'une dĂ©mocratie recherche appartient aux français et ils doivent y ĂȘtre partie prenante en tant que tĂ©moins afin dâĂȘtre au fait des enjeux modernes de sociĂ©tĂ© et pouvoir le cas Ă©chĂ©ant, Ă travers le pouvoir politique encourager certains secteurs ou en restreindre dâ Ă©conomie en voie de dĂ©matĂ©rialisationC'est le thĂšme de la dĂ©matĂ©rialisation de l'Ă©conomie ou comment nous avons tout intĂ©rĂȘt Ă Ă©voluer vers une Ă©conomie immatĂ©rielle c'est particuliĂšrement vrai en ce qui concerne les loisirs. Les avantages sont Ă©cologiques, face Ă une population mondiale croissante, les ressources sont de plus en plus sollicitĂ©es et prĂ©parer un avenir stable serait plus facile avec une industrie de la connaissance plutĂŽt qu'une industrie des faut informer et faire comprendre aux membres de la sociĂ©tĂ© qu'un mode de vie Ă l'amĂ©ricaine pour tous n'est ni possible, ni plus, une Ă©conomie dĂ©matĂ©rialisĂ©e au maximum est la plus compatible avec une Ă©galitĂ© sociale deux grands axes doivent donc ĂȘtre 1 le recyclage total2 un encouragement massif Ă la dĂ©matĂ©rialisation de l'Ă©conomieLe contre-exemple de l'automobileChasser les automobile des villes, c'est rendre un espace vital de communication et d'Ă©change Ă tous, en particulier aux chasser de la citĂ© le stress terrible du vacarme permanent, c'est rendre les villes plus belles et l'air plus amĂ©liorer la santĂ© de tous du fait de la qualitĂ© de l'air et de la diminution du stress. C'est rendre la vie de tous bien plus soutenue par un marketing tonitruant s'est appropriĂ©e une grande part de l'imaginaire des hommes. Pourtant, bien qu'en elle-mĂȘme un instrument gĂ©nial, elle est le plus antidĂ©mocratique des outils et aussi l'un des plus l'ont trĂšs justement fait remarquer certains philosophes techno-sceptiques, elle est devenue un style de vie plus qu'un outil et maintes portions â parfois Ă©normes â du territoire sont amĂ©nagĂ©es autour de l' pollue excessivement. Les scandales rĂ©cents touchant Volkswagen et dâautres constructeurs et probablement Renault quant Ă la fraude au contrĂŽle pollution ne font que confirmer ce constat. Elle n'est pas efficace en termes de rapport Ă©nergie dĂ©pensĂ©e / personnes que nous donne-t-elle en Ă©change de tous ces inconvĂ©nients ? Un sentiment de libertĂ© !Il est temps pour les hommes de grandir et de se rendre compte que ce magnifique engin de leur invention est en train de saboter la planĂšte autant que la vie des hommes dans n'est pas exagĂ©rĂ© d'affirmer que les grandes villes d'oĂč l'automobile est bannie sont transfigurĂ©es. L'espace occupĂ© par les autos est rendu aux hommes qui n'Ă©tant plus cloĂźtrĂ©s Ă un Ă©troit trottoir rĂ©cupĂšrent la libertĂ© pour leur corps, l'amplitude de mouvement, se libĂšrent l'esprit du stress du bruit des moteurs et du danger permanent que les autos reprĂ©sentent en une ville rĂ©gĂ©nĂ©rĂ©e, revivifiĂ©e, reposĂ©e, oĂč les hommes peuvent se rapprocher, la sociĂ©tĂ© faire corps, l'espace public leur Ă©tant rendu, ils ont Ă nouveau la possibilitĂ© de se connaĂźtre et donc de mieux se faut donc rĂ©duire l'automobile Ă son usage le plus lĂ©ger. DĂ©velopper de systĂšmes d'auto publiques comme le vĂ©lib, des vĂ©hicules propres et bannir les voitures des villes. Il faut rĂ©tablir un maillage serrĂ© de voies ferrĂ©es comme au Japon, qui doivent desservir tout le territoire et dĂ©velopper une nouvelle gĂ©nĂ©ration de trains moins rapides mais beaucoup plus maillage serrĂ©, propre, ponctuel, peux onĂ©reux, doivent ĂȘtre les enjeux d'un service public de transports et non pas la vitesse et la vente Ă l'international. Tout doit ĂȘtre ralenti y compris le fret mais doit ĂȘtre d'une efficacitĂ© rĂ©elle sans impact Ă©cologique et Ă un coĂ»t d'utilisation technologies de l'information poursuivront leur essor. L'accĂšs de tous Ă internet toujoursgratuit doit ĂȘtre rapiditĂ© de l'information venant, jointe Ă un rail efficace, Ă©tablir un nouveau systĂšme logistique de la France plus efficace qu' recherche et dĂ©veloppement doivent ĂȘtre poussĂ©s Ă fond par lâĂtat mais dans des domaines utiles et l'Ă©nergie, le savoir-faire, le hommes, les matĂ©riaux, l'argent, consacrĂ©s Ă la construction de voitures Ă©taient allouĂ©s Ă un plan habitat en France, notre pays deviendrait vite celui oĂč l'on est logĂ© de la maniĂšre la plus donc un gĂąchis de consacrer toutes ces ressources Ă un objet qui peu ou prou nuit au pays, Ă la sociĂ©tĂ© et Ă la modĂšle vente-achatC'est lâesprit attristĂ© que chaque jour je me lĂšve pour affronter un sociĂ©tĂ© des objets. Je crois que le mal est Ă ce point ancrĂ© en nous qu'il est pour tous une normalitĂ© immuable, plus encore, une vĂ©ritĂ© naturelle, un Ă©tat des choses, le cours de la vie, la nature des que soit la maniĂšre dont on caractĂ©rise notre sociĂ©tĂ©, l'absolue prĂ©valence d'un modĂšle vente-achat est perçue comme un donnĂ© primordial, comme un principe je suis persuadĂ© de ce que ce principe n'en est pas un et que cette normalitĂ© est une partir d'une assertion toute simple que m'a faite une amie chinoise vivant en ceux qui ont les idĂ©es assez simplistes pour vouloir entrer en compĂ©tition Ă©conomique avec l'Asie, Ă ceux qui font tant cas de la nouvelle puissance Ă©conomique chinoise pour plonger la France Ă corps perdu dans le jeu de la compĂ©tition Ă©conomique internationale sans rĂšgles, je vous rĂ©pĂ©terai cette simple phrase qu'elle m'a dite L' Europe est riche, vous ĂȘtes riches. Car le vrai luxe, c'est la beautĂ©. »Le vrai luxe c'est aussi la dĂ©mocratie serais-je tentĂ© d' ce jeu idiot qui consiste Ă mesurer la richesse Ă l'aune de la seule donnĂ©e monĂ©taire, vousmenacez de dĂ©truire le trĂ©sor de civilisation que reprĂ©sente l'Europe et que tout le monde nous notre richesse en France, c'est la beautĂ© de notre patrimoine, la qualitĂ© de notre nourriture, la vivacitĂ© de notre dĂ©mocratie, la beautĂ© de nos villes et campagnes, le respect relatif encore pour combien de temps de l'environnement, le talent de nos industries et j'en passe...Notre richesse n'est pas combien de Peugeots nous vendons en Chine mais le fait que Peugeot puisse produire des voitures de haute qualitĂ© au sein d'un pays dĂ©mocratique, riche culturellement, beau et relativement richesse n'est pas que Dassault rĂ©ussisse Ă vendre ses rafales aux dictatures arabes niqu'Airbus fasse la nique Ă Boeing mais bien que nous soyons en mesure de produire cestechnologies de pointe au service du plus grand nombre dans le respect de la France est riche, sans doute des ajustements sont-ils nĂ©cessaires, mais c'est en jouant le jeu Ă court terme du marchĂ© qui bĂ©nĂ©ficie aux actionnaires et non pas Ă la France que vous ĂȘtes en train de couler le pays par en haut et par en biens essentiels et le temps de la connaissancePosez-vous la question. Quels sont les objets dont nous avons besoin pour une vie agrĂ©able ? Ăvidemment, câest une question bien subjective. Mais, pas complĂštement aprĂšs tout, les hommes ne partagent-ils pas tous leur humaine condition ?Dâaucuns me jugeront trop radical, mais jâaime penser quâen ces temps dâurgence, une certaine radicalitĂ© ou vigueur dans les principes est de bon je pense que les arbres plusieurs fois centenaires sont les objets les plus beaux que le monde nous ait donnĂ©. Ă cĂŽtĂ© de cela la quantitĂ© de camelote que nous produisons est qu'une Ă©conomie soit instituĂ©e autour de biens souvent inutiles, moches ou nĂ©fastes est Ă proprement parler de pays dits en dĂ©veloppement » sont pauvres, mais non pas tant de raison Ă©conomique, mais de penser qu'ils le sont, pauvres de ne juger leur richesse quâen points de PIB en accord avec lâorthodoxie Ă©conomique qui a autour de moi, dans des endroits modestes, que ce soit au Mexique ou en Chine, jâai vu pourtant de la richesse mĂȘme si elle ne portait pas la marque de fabrique de l'occident. Ni Mercedes ou Audi, ni Louis Vuitton ni restaurants chics dans un village mexicain. Pourtant, il me semblait que matĂ©riellement, tout Ă©tait lĂ ou presque, et parfois il mâest mĂȘme arrivĂ© de me demander dans ces endroits de si peu mais dignes si finalement lĂ , l'essentiel n'avait pas encore Ă©tĂ© endommagĂ© par le superflu. Seuls manquaient la conscience de cette richesse et les connaissances permettant d'en tirer profit troisiĂšme millĂ©naire sera celui de la connaissance ou la Terre mourra de nos excĂšs matĂ©riels.. Ceux de nos dirigeants qui nâont pas intĂ©grĂ© cette donnĂ©e fondamentale appartiennent au il faut voter Jean-Luc MĂ©lenchonAvant mĂȘme d'entrer dans un questionnement de la croissance comme modĂšle, il est passionnant de prendre conscience du fait qu'une transition Ă©cologique rĂ©elle constituerait pour toute sociĂ©tĂ© moderne un dĂ©fi d'envergure exaltant, mobilisant toutes les ressources humaines de la sociĂ©tĂ© et tous les transition Ă©cologique rĂ©elle, mĂȘme selon le modĂšle Ă mon avis dĂ©suet de la croissance Ă©conomique, constituerait un vecteur si puissant de changement qu'il pourrait tirer cette croissance vers le haut au moins autant que ne l'a permis la reconstruction dans l' qui bloque le plus cette transition c'est la mise en cause de beaucoup d'intĂ©rĂȘts solidement instituĂ©s depuis longtemps. RĂ©affecter les forces de production ne se fait pas sans casse et sans froisser de puissantes entreprises qui ont intĂ©rĂȘt Ă ce que les choses restent en lâ cela je ne crois pas en l'homme dâun soi-disant consensus qui serait en fait un garant de la permanence de lâordre Ă©tabli, mais je crois en la nĂ©cessitĂ© d'un homme dĂ©cidĂ© qui impose les choix d'intĂ©rĂȘts publics face aux entreprises et intĂ©rĂȘts privĂ©s. Mr MĂ©lenchon est le plus indiquĂ© parmi les candidats en lice pour tenir ce rĂŽle. Car le moment venu de faire de choix importants il ne faudra pas flĂ©chir face aux intĂ©rĂȘts Ă©conomiques installĂ©s et leur armada de lobbyistes, de conseillers et dâavocats qui s'opposeront au changement ou feront tout â y compris des campagnes de dĂ©sinformation â pour convaincre que leurs intĂ©rĂȘts sont ceux des faut des projets ambitieux pour la France et non pas se figer dans des visions Ă court terme qui ne correspondent qu'Ă une politique du porte-monnaie et qui remettent Ă plus tard les grands dĂ©fis qui se prĂ©sentent dĂšs Ă lâexemple du chantier l'Ă©nergie nuclĂ©aire par des Ă©nergie renouvelable sans plus attendre est lâun de ses dĂ©fis qui nous attendent et devant lequel la plupart des candidats atermoient sortir progressivement du nuclĂ©aire, plusieurs actions conjointes vont ĂȘtre il est plus qu'intelligent, il est moral, il est de conscience collective et environnementale d'envisager une rĂ©duction de la consommation d' faut faire une chasse au gaspillage, une quĂȘte de la meilleure efficacitĂ© habitats doivent ĂȘtre rĂ©novĂ©s en ce appareils Ă©lectromĂ©nagers fortement consommateurs doivent ĂȘtre bannis ou facture Ă©nergĂ©tique de chaque foyer doit ĂȘtre minimale, c'est Ă dire que la consommation d'Ă©lectricitĂ© pour se chauffer, chauffer l'eau, s'Ă©clairer et faire tourner les frigos doit ĂȘtre amenĂ©e au plus bas niveau mĂȘme chaque entreprise doit procĂ©der Ă un rĂ©examen de ses processus de production ou defonctionnement Ă l'aide de cabinets spĂ©cialisĂ©s ou de dĂ©tachĂ©s du ministĂšre et ĂȘtre aidĂ©e dans une rĂ©organisation en consĂ©quence pour optimiser son empreinte entreprises hors ville disposant de surface toits ou terrains doivent immĂ©diatement adopter le petites communes et agglomĂ©rations moyennes qui ne connaissent pas le problĂšmes d'entassement des grandes villes doivent faire l'objet pour chacune d'un plan stratĂ©gie Ă©nergĂ©tique» qui doit tirer le plus possible vers une indĂ©pendance Ă©nergĂ©tique non polluante et les faire dĂ©pendre de moins en moins des grosses centrales en ramenant ces problĂ©matiques au niveau local qu'on rĂ©soudra les problĂšmes. En traitant les questions de l'Ă©nergie et de l'eau Ă l'Ă©chelon le plus bas. Et non pas en construisant d'immenses chemin est long avant que nous n'atteignons ce stade dâune sociĂ©tĂ© plus Ă©quitable et Ă©cologiquement responsable, le respect de ce que Jean-Luc MĂ©lenchon appelle la rĂšgle verte. Mais loin de devoir nous effrayer, câest en ce quâil est ambitieux que ce projet est une chance pour la France. Car ce n'est pas une tĂąche impossible, notre intelligence collective surpasse largement le dĂ©fi reprĂ©sentĂ© par ce une question opĂ©rationnelle, câest une question de volontĂ© demande aux français de sâarrĂȘter un instant, et dâobserver autour dâeux en les pays sont confrontĂ©s aux mĂȘmes problĂšmes. Parce que tous bĂ©nĂ©ficiant dâune Ă©conomie plutĂŽt efficace, dâĂ©lections libres et dâune relative stabilitĂ© nous ne sommes pas moins confrontĂ©s au mĂȘme monde en transition avec nos dĂ©mocraties un peu usĂ©es quâil nous faut rĂ©nover. Alors, regardez un instant le panorama europĂ©en et regardez aussi un instant lâhistoire. Vous comprendrez alors quâil existe parfois des chances historiques de provoquer un changement salutaire, de provoquer un changement pour un avenir meilleur. Il nây a pas en Europe aujourdâhui, un seul leader politique de la qualitĂ© de Jean-Luc MĂ©lenchon, aussi prĂ©parĂ© et en mesure de remporter des Ă©lections nationales et qui porte un projet innovant, ambitieux pour son pays et pour le opportunitĂ©s dâamĂ©liorer la sociĂ©tĂ© sont peu nombreuses et il faut savoir les saisir. JâespĂšre que les Ă©lecteurs français comprendront quâavec la rĂ©volution citoyenne proposĂ©e par les insoumis, ils ont lâopportunitĂ© de marquer le cours de lâhistoire dâune façon positive et mettre la France sur les rails dâun futur plein dâespoir quand des partis dâun racisme anachronique ou dâun conservatisme Ă©conomique stupide proposent rien de moins quâune guerre civile ou de continuer Ă foncer droit dans le jugement Ă©conomique altĂ©rĂ© d'une caste d'Ă©conomistes servilesComment va-t-on intĂ©grer cette nouvelle donnĂ©e Ă une Ă©conomie refondĂ©e ?Comment va-t-on intelligemment imposer l'intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral sur les nombreux intĂ©rĂȘts privĂ©sactuellement en place ? Comment prouver contre nos dĂ©tracteurs, que la primautĂ© de l'intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral n'Ă©quivaut ni au communisme, ni Ă un Ătat autoritaire ?Je suis bien entendu convaincu que non, mais nos dĂ©tracteurs se feront une joie d'arguer malhonnĂȘtement du fantĂŽme autoritaire pour, sous couvert de libertĂ©, faire rĂ©gner leurs intĂ©rĂȘts particuliers au dĂ©triment de la imposer une rĂ©glementation drastique Ă la production industrielle, imposer des conditions sociales et Ă©cologiques sĂ©vĂšres Ă la distribution de biens et services, n'est pas dictature messieurs les candidats de droite, c'est responsabilitĂ© et souci des en Europe n'est pas moribonde, elle ne l'a jamais Ă©tĂ©. Elle l'est selon les critĂšres de nos chers financiers et analystes Ă©conomiques incultes et assez Ă©troits dâesprits, pour ne connaĂźtre ni l'Ă©tymologie du mot Ă©conomie, ni le sens vĂ©ritable de cette l'Europe seule a beaucoup de pouvoir, et mĂȘme la France !Je soutiens que la Chine a bien plus besoin de l'Europe que l'Europe n'a besoin d' nos petits Ă©conomistes en herbe abreuvĂ©s au lait tournĂ© dâĂ©coles de commerce et dâĂ©coles du pouvoir oĂč lâon enseigne la doxa financiarisĂ©e de lâĂ©conomie sont assez ignorants pour ingurgiter toutes ces niaiseries nĂ©olibĂ©rales et en arriver Ă un point tel de lavage de cerveau qu'ils son incapables d'observer lucidement la rĂ©alitĂ© physique de lâEurope, la rĂ©alitĂ© physique de leur France est riche car elle a une Ă©conomie bien Ă©quilibrĂ©e. Ăvidemment qu'il y manque un peu d'industrie vu que nos dirigeants Ă©conomiques ont eu l'intelligence d'aller produire dans n'importe quelles conditions en Asie et au bonne nouvelle, pas tant que ça en ce dont nous avons besoin aujourd'hui c'est de moins moins moins, moins et mieux !Oui, moins, l'Ă©conomie grĂące aux connaissances toujours accrues est en passe de se dĂ©matĂ©rialiser. Nous sommes Ă l'aube d'une nouvelle Ăšre productive oĂč le terme mĂȘme de production sera probablement changĂ©. Il nous faut passer d'une Ă©conomie de la production Ă une Ă©conomie de la connaissance et de la production agriculture est puissante, il faut amĂ©liorer sa qualitĂ© et par un remodelage, aller vers une agriculture la plus biologique possible. GrĂące Ă la recherche publique, amĂ©liorons toujours la qualitĂ© et recherchons le meilleur Ă©quilibre entre production agricole, ressources en terre et disponibilitĂ© en eau faut aussi diminuer les viandes, c'est un acte militant et gĂ©nĂ©reux. Il faut relocaliser la production de vĂ©hicules de transports propres bus, trains, tramways, vĂ©los et voitures Ă©lectriques, etc...Il faut lancer en France par la recherche publique et l'entreprise publique s'il le faut un pland'Ă©nergies renouvelables solaire, thermique, Ă©olien...Il faut un centre de recherche sur lâhabitat combinant architecture et science, en charge de l'habitat durable et Ă©co-efficient, seul chemin viable pour le faut un ministĂšre de l'Ă©valuation Ă©cologique de l' faut un centre de recherche national consĂ©quent ainsi qu'un ministĂšre de la nouvelle industrie du 20 ans tout au plus, nous aurions remis la France sur le chemin de l'avenir et fait de notre pays une Nation forte et responsable, digne des pages les plus glorieuses de son d'un monde empli de consommables de mauvaise facture, oĂč les espaces publics disparus le cĂšdent Ă des ribambelles de commerces plus ou moins inutiles ?Un monde oĂč les jardins verdoyants oĂč nos enfants pourraient courir et crier sont remplacĂ©s par le laid bitume des routes polluĂ©es par les voitures dont de surcroĂźt, les enfants doivent se mĂ©fier, dĂ©sormais cantonnĂ©s Ă l'Ă©troit espace privĂ© des appartements parentaux ?Veut-on continuer Ă lutter pour survivre, Ă prendre le premier travail idiot et mĂȘme nĂ©faste que la sociĂ©tĂ© de consommation nous offre pour Ă peine subvenir Ă nos besoins ?Ou veut-on travailler tous, moins, et effectuer des tĂąches gratifiantes de trĂšs bonne qualitĂ© ? Ceci pour participer Ă une sociĂ©tĂ© qui nous offre de belles conditions de vie, matĂ©rielles et intellectuelles ?LâEurope est sans doute le territoire le plus diplĂŽmĂ© au monde, le mieux formĂ©, l'endroit Ă la diversitĂ© la plus prononcĂ©e. Le climat y est ignorants de dirigeants Ă©conomiques de tout poil ne cessent de rĂ©pĂ©ter que nous ne sommes pas compĂ©titifs car ils n'ont pour seul horizon que le coĂ»t monĂ©taire du produit nous ne serons jamais compĂ©titifs avec les pays oĂč ne sont ni respectĂ©s les employĂ©s nil'environnement pour produire un ordinateur Ă bas revanche, si nous nous mettions en tĂȘte de produire de la qualitĂ©, verte et socialement juste, et si les patrons n'Ă©tranglaient pas les salariĂ©s qui pourraient alors se payer ces produits, alors nous n'aurions pas notre pareille pour produire ces biens de sĂ»r, toute l'Ă©conomie aurait une allure bien distincte de celle d'aujourd'hui. Ce ne serait plus la profusion ou la quantitĂ© qui seraient de mise mais bien la qualitĂ©, l'intelligence et la durabilitĂ© qui esprit du faire » ou le rendement monĂ©taire pour seul butIl faut absolument comprendre que nous sommes prisonniers d'un systĂšme productif qui a colonisĂ© jusqu'aux trĂ©fonds de notre intellect. Et que de nous-mĂȘmes, aidĂ©s en cela par une publicitĂ© permanente et omniprĂ©sente, nous nous rendons esclaves d'un monde d'objets, d'un monde de consommables technologie ne travaille plus pour nous mais nous travaillons pour une fausse technologie, un univers de gadgets bas de gamme, inutiles et pire encore, consacrons la majeure partie de notre prĂ©cieux temps dĂ©sormais organisĂ© totalement par les entreprises, Ă concevoir, produire plus trop en France, stocker et vendre des objets qui ne servent Ă sommes si Ă©tourdis par la litanie publicitaire que nous nous Ă©chinons nuit et jour Ă cette cause, Ă la consĂ©cration de cette matĂ©rialitĂ© immonde » car destructrice du monde, la considĂ©rant comme une normalitĂ© ou mĂȘme un aboutissement de il suffit qu'un modĂšle passe une gĂ©nĂ©ration entre 20 et 30 ans pour qu'il s'impose comme rĂ©alitĂ© et donc comme mieux nous travaillerions, mieux nous serions organisĂ©s, moins nous aurions Ă travailler. Or c'est exactement l'inverse qui se produit et nous avons Ă travailler toujours plus pour subvenir Ă nos besoins dans une sociĂ©tĂ© oĂč le coĂ»t de la vie continue dâaugmenter, ce qui est la preuve mĂȘme que l'effort est organisĂ© de façon mal comme nous le faisons, c'est Ă©gal Ă une population, qui selon la fameuse mĂ©taphore de lâĂźle, pour se chauffer, couperait petit Ă petit tous les arbres de l'Ăźle qu'elle habite afin de faire du feu chaque soir au lieu de construire une maison. Car couper des arbres est plus facile, c'est un gain ou existerAllez, osons ! Le lecteur nâa probablement plus de doute quant Ă mon soutien de la candidature de Jean-Luc MĂ©lenchon pour les insoumis. Alors je peux parler de sixiĂšme l'espace public est un des devoirs de la sixiĂšme RĂ©publique de la rue piĂ©tonne, des quartiers piĂ©tons, de nouveaux centres culturels grands et ambitieux, une politique favorisant des coĂ»ts bas pour les cafĂ©s et restaurants, lieux oĂč par la convivialitĂ© les gens se mĂ©langent et se fonde un faut rĂ©trĂ©cir la matĂ©rialitĂ© polluante pour que l'esprit puisse s'Ă©largir, s' paix intĂ©rieure viendra d'une qualitĂ© de vie amĂ©liorĂ©e et des Ă©nergies crĂ©atrices s'en trouveront temps libre, bien plus ample, trouvera une utilisation utile au bien public comme l'embellissement de l'architecture, le soin Ă la nature, les arts ou la me traitera d'idĂ©aliste mais que faire si l'on n'a pas d'ambition idĂ©ale pour sa sociĂ©tĂ© ?Il faut parier sur le talent des hommes, miser sur l'intelligence collective et c'est pourquoi il faut Ă tout prix sortir la dĂ©mocratie du jeu des lobbyistes et des contre-pouvoirs Ă©conomiques pour que l'intelligence collective, meilleur fruit des rĂ©publiques, puisse Ă nouveau poindre et prendre des dĂ©cisions bonnes pour le collectif. Jean-Luc MĂ©lenchon a raison, dĂ©gagez les tous et Ă©tablissons les nouvelles rĂšgles dâune dĂ©mocratie plus avancĂ©e oĂč par exemple comme il est proposĂ©, les citoyens pourront rĂ©voquer leurs sommes peut-ĂȘtre bien plus prĂšs que nous le croyons d'une sociĂ©tĂ© libĂ©rĂ©e de la paralysie et sur le chemin d'une transition Ă©cologique et sociale. Mais nous sommes aveuglĂ©s par le brouillard pseudo-Ă©conomique de nos dirigeants dans lequel, jâen ai bien peur, ils sont eux-mĂȘmes citoyen consommateur dĂ©passĂ©En Chine, je vois ces shopping malls gĂ©ants, ces speakers dĂ©versant nuit et jour des messages publicitaires, ces enseignes lumineuses, ces boutiques sur-Ă©clairĂ©es, les musiques d'ambiance permanentes, les Ă©crans partout allumĂ©s et j'en viens Ă me demander si je suis le seul Ă dĂ©sirer ce monde dont je rĂȘve. Le monde entier ne prĂ©fĂšre-t-il pas s'adonner Ă la dĂ©pense sans compter de toute l'Ă©nergie matĂ©rielle qu'il est possible de capter, utiliser ou crĂ©er ?Serais-je le seul Ă rĂȘver d'un monde beau, dĂ©matĂ©rialisĂ© ou harmonie entre homme, nature et technologie serait rĂ©alisĂ©e ? La Chine, trĂšs pauvre il y a encore peu de temps sâadonne dĂ©sormais aux joies de la consommation. Pourtant des vagues de protestation Ă©clatent partout dans lâusine du monde. Et PĂ©kin tente tant bien que mal dâĂ©touffer ces rĂ©voltes de travailleurs citoyens qui sont en premiĂšre ligne des ravages du productivisme stĂ©rile de la sociĂ©tĂ© de consommation. Pollution brutale de lâair et des nappes phrĂ©atiques. ImpossibilitĂ© pour les enfants de sortir du fait du smog, aliments impropres Ă la consommation. Sans mĂȘme parler des conditions de travail esclavagistes qui rappellent lâEurope du 19Ăšme siĂšcle. Nous sommes des citoyens du monde. Et le sort de tous les citoyens du monde nous importe. Câest cela une des grandes diffĂ©rences entre notre projet et celui des autres formations politiques. Notre projet est pour la France et pour les français, mais notre projet est aussi pour le monde et les femmes et hommes de ce monde. Nous ne voulons ni lâexploitation du genre humain, ni la destruction des Ă©cosystĂšmes, ni en France, ni ailleurs dans le devons reprendre toute notre place en tant que citoyens et cesser dâĂȘtre uniquement des consommateurs. Ceci est de notre responsabilitĂ©. Le systĂšme aujourd'hui en place nous maintient dans une enfance, dans une illusion Ă©conomique, en tenant soigneusement Ă distance de nous les vĂ©ritĂ©s qui dĂ©rangent. Nous avons beau savoir grĂące aux mĂ©dias, câest loin, câest donc abstrait, voire inexistant. Il est facile de fermer les nous voulons ouvrir grand les yeux ici, pour la France et pour le monde car nous aspirons Ă une sociĂ©tĂ© meilleure en France et ne souhaitons pas que notre style de vie suppose une armĂ©e dâouvriers exploitĂ©s en Asie et la destruction du continent Africain par le pillage de ses matiĂšres premiĂšres au travers la corruption de ses Ă©lites et lâĂ©tat de guerre permanente qui dĂ©coule de cette instabilitĂ© est bien Ă©vident que tout le monde en France porterait un regard diffĂ©rent sur la mode, voire mĂȘme, la condamnerait, si les usines textiles Ă©taient en France et non pas en Asie et si dans les mĂȘmes conditions, un des membres de la famille s'y tuait au une infantilisation de notre sociĂ©tĂ© â c'est Ă dire un dĂ©placement hors de la vue des moyens de production, en l'occurrence en Asie, et donc de l'horreur â a permis de rendre acceptable aux yeux du public occidental â tout de mĂȘme bercĂ© d'idĂ©aux dĂ©mocratiques â le dĂ©ferlement de biens de consommation bon marchĂ© produits dans des conditions seconde fois, le citoyen occidental est plongĂ© dans l'enfance quand, du fait du mĂȘme facteur d'Ă©loignement, il est coupĂ© des consĂ©quences Ă©cologiques dĂ©lĂ©tĂšres partout dans le monde provoquĂ©es par son mode de encore qu'un changement politique et Ă©conomique que je prĂŽne, c'est Ă un profond examen de conscience que j'invite tant que citoyen français en provoquant la rĂ©volution citoyenne, vous pouvez faire un changement pour la France et pour le vous laissez pas berner par ceux qui agitent l'Ă©pouvantail d'une prĂ©tendue rĂ©gression de notre sociĂ©tĂ© si l'on se mettait Ă combattre la consommation tous comme souvent dans lâhistoire, rĂšgle dĂ©cidĂ©e collectivement vaut fin de lâarbitraire du prince, de la sociĂ©tĂ© fĂ©odale. La fin de lâusure, lâobligation dâun salaire minimum, lâobligation dâaller Ă lâĂ©cole, lâinterdiction du travail des enfants, lâinterdiction de faire travailler plus dâun temps encore la rĂšgle nous affranchira de maints il sera interdit de polluer, quand les salaires seront augmentĂ©s, quand des Ă©lus qui nâen ont cure de leurs Ă©lecteurs pourront ĂȘtre rĂ©voquĂ©s, quand ces mesures seront effectives, nous auront fait le premier pas vers un progrĂšs significatif de notre avons un pouvoir en tant que consommateurs que nous n'exerçons est vrai qu'il est difficile de l'exercer tant la sociĂ©tĂ© est bouclĂ©e autour de l'acte de consommation et tant l'enclosure est ces conditions impĂ©rieuses, acheter plus qu'acquĂ©rir un objet s'apparente souvent Ă un acte vital d'existence, car il n'y a souvent rien d'autre Ă faire ; nature et espaces publics, temps libre Ă©tant rĂ©duits Ă la portion pour bien des secteurs non vitaux, nous,les particuliers acheteurs », dictons absolument les rĂšgles. Nous sommes des faiseurs de s'agisse de textile, d'automobile, d'amĂ©nagement intĂ©rieur ou de bien dâautres secteurs, et dans les pays riches oĂč l'offre est variĂ©e, y compris dans le secteur de l'alimentation, Nous pourrions Ă l'Ă©chelle nationale et bien sĂ»r mondiale â Ă condition de ne pas battre en retraite devant l'argument malhonnĂȘte de la dĂ©fense nationale de l'emploi â soumettre des entreprises aisĂ©ment. Les français n'ont pas droit de vie ou de mort sur la fnac ou sur h&m, nĂ©anmoins dans les faits ce sont eux qui par leur comportement abrogent ou prorogent l'existence de ces entreprises en nĂ©cessairement pousser jusqu'Ă son terme cette logique et pousser Ă mettre la clĂ© sous la porte ces sociĂ©tĂ©s, nous pouvons sans passer par la politique faire pression sur elles pour obtenir d'elles un comportement que nous jugions plus adĂ©quat que ce soit en termes humains ou nous ne le faisons pas, chacun occupĂ© Ă notre quotidien, chacun courant pour boucler les fins de mois, chacun pris en Ă©tau dans le bonheur consumĂ©riste obligĂ©, chacun se disant, on verra demain », chacun pensant de toute façon rien ne va changer » ou mon action individuelle nâest quâune goutte insignifiante au milieu dâun ocĂ©an ».Ce que nous ne faisons pas par manque dâorganisation et pour mille autres raisons comme consommateurs, faisons-le comme citoyens. Car ici une chance nous est donnĂ©e de reprendre la main par le haut sur lâĂ©conomie dĂ©bridĂ©e et dâenfin imposer Ă tous les acteurs de la sociĂ©tĂ© les choix qui en ces temps de crise idĂ©ale et Ă©cologique, sâ voterJe propose une sociĂ©tĂ© essentiellement propose une sociĂ©tĂ© non tournĂ©e vers une idĂ©ologie de une sociĂ©tĂ© tournĂ©e vers une idĂ©ologie de faire pour remplacer le tout-achat ?Que faire pour remplacer le tout-travail ? Jâinvite le lecteur Ă lire le brillant essai de Hannah Arendt sur la question du travail La condition de l'homme moderne »On voit Ă poser ces questions que deux Ă©lĂ©ments centraux de nos sociĂ©tĂ©s contemporaines sont Ă la croisĂ©e de tous nos destins et en temps de crise, il est de notre devoir de repenser ces deux d'aujourd'hui a besoin de se gaver, de travail et d'achats, tant la sociĂ©tĂ© est qualitativement et spatialement organisĂ©e en ce sens et tant son esprit a Ă©tĂ© sculptĂ© pour ce modĂšle au point qu'il sâen trouve dĂ©sorientĂ© si un de ces deux piliers vient Ă dĂ©livrer les hommes de cette idĂ©ologie qui prospĂšre depuis les dĂ©buts de la rĂ©volution industrielle ?Il y a bien eu un petit sursaut avec les luddites, ces ouvriers anglais du textile qui se sont rĂ©voltĂ©s contre les machines au dĂ©but du 19Ăšme siĂšcle, mais bien qu'ayant eu une bonne intuition, ils se trompaient dâennemi. Mais depuis leur Ă©crasement sĂ©vĂšre par le pouvoir en Angleterre, il n'a pas Ă©tĂ© souvent question de mettre en doute le productivisme, que ce soit du cĂŽtĂ© occidental ou du cĂŽtĂ© cours du 20Ăšme siĂšcle, les termes de l'Ă©quation socio-Ă©conomique ont Ă©tĂ© croissance ne signifie plus dĂ©veloppement du niveau de vie comme durant l' Les technologies ont dĂ©jĂ atteint le stade oĂč les hommes sont dĂ©livrĂ©s Ă une hauteur importante des tĂąches nĂ©cessaires Ă leur se lance dans une analyse socio-Ă©conomique sans tenir compte de ces deux donnĂ©es nouvelles qui changent radicalement la donne, ne peut qu'aboutir Ă une analyse profondĂ©ment erronĂ©e de la situation ce quâon nomme des crises Ă©conomiques », n'en sont pas, comment peut exister cette contradiction dans les termes qu'est une crise de surproduction ». Ces crises sont des crises des idĂ©es », des crises politiques ». Elles sont dues Ă un refus de considĂ©rer l'Ă©quation humaine de maniĂšre rĂ©aliste -population-ressources-technologiesLe plus surprenant c'est que ce sont jusqu'Ă nos consciences qui ont Ă©tĂ© façonnĂ©es par l'impĂ©ratif productiviste et il semble qu'il soit inconcevable aujourd'hui pour la majeure partie d'entre nous de ne rien faire » au sens Ă©conomique ou sociĂ©tal » du gratuit sâest doublĂ© du soupçon dâinutilitĂ©, du sentiment coupable de ne pas ĂȘtre si une peur dâun vide matĂ©rialiste s'Ă©tait emparĂ©e de nous tous, qui avions Ă©tĂ© gavĂ©s de travail salariĂ© et de veux l'affirmer, cette peur du vide qu'agitent les tenants du productivisme en faisant valoir un argument aussi simple et stupide qu'efficace que que ferait-on ? C'est ridicule » si on ne travaillait pas, cette peur du vide, elle n'a pas lieu d' elle n'a pas lieu d'ĂȘtre car nous ferions plein de choses, d'autant plus que la sociĂ©tĂ© et donc l'espace seraient organisĂ©s autrement. L'enclosure diminuerait notoirement et des liens d'une nature nouvelle se tisseraient. Ne pas faire une activitĂ© liĂ©e Ă lâargent ne signifie pas ne rien trouver la voie vers un changement qui semble si ambitieux. Tout simplement en commençant, petit Ă petit. En commençant par Ă©tablir une lĂ©gislation Ă©cologique et humaine beaucoup plus stricte et des politiques dignes de ce nom ne soient pas capables d'opeÌrer une discrimination parmi les activiteÌs des hommes entre celles qui apportent une utiliteÌ sociale, celles qui sont neutres et celles qui sont nuisibles socialement, est bien la signature du marasme politique actuel. La signature de lâabdication de nos Ă©lus Ă exercer la meÌme, c'est une faillite deÌclareÌe de ces soi-disant politiques â qui en usurpent le nom et qui se comportent en fait comme des agents des milieux eÌconomiques â que d'eÌtre incapables de deÌsigner les biens mateÌriels et intellectuels, artificiels et naturels qui sont inalieÌnables aux inteÌreÌts priveÌs et qui par leur nature, sont inconditionnellement dans le domaine public. Ce qui ne signifie pas nĂ©cessairement qu'ils appartiennent aÌ lâĂtat mais qu'ils doivent eÌtre inappropriables et que lâĂtat doit se porter garant de ce statut commencerons par la qualitĂ© de lâair et de lâeau, par un droit minimal au logement, Ă lâĂ©lectricitĂ© et Ă internet. LâĂ©ducation, la santĂ©, les transports. Les nouveaux Ă©lus et les citoyens Ă travers leurs nouvelles institutions seront Ă mĂȘme de dĂ©cider judicieusement ce qui est notre patrimoine commun et qui doit ĂȘtre mis Ă lâabri des intĂ©rĂȘts chemin peut paraĂźtre long, mais il ne nous faudrait pas plus de 20 ans pour changer dâune maniĂšre radicalement positive le visage de notre dĂ©mocratie et de notre ans, au vu de notre longue et riche histoire, ce nâest que le court instant dâune brĂšve quâil nous faut prendre avant de sauter en avant !ConclusionQuand je vois la pleine Lune, si brillante, comme en cette nuit d'un Samedi de fĂ©vrier aÌ SeÌte, je suis absolument fascineÌ. Un sentiment incroyable mâenvahit et je suis compleÌtement terrasseÌ par mon admiration envers la nature des hommes ont-ils eu l'audace un jour de penser qu'ils pourraient fouler de leurs pieds cet astre lointain ?Par quel meÌcanisme extraordinaire de la penseÌe, un ou plusieurs membres de notre espeÌce ont-ils pu imaginer qu'il eÌtait possible de se hisser sur ce bout de ciel ? Il est dommage que la science, peut-eÌtre le plus preÌcieux, le plus incroyable et le plus admirable de nos arts et savoirs ne soit pas apprĂ©ciĂ©e Ă sa juste veÌritable connaissance rend humble en ce qu'elle nous rappelle chaque jour l'eÌtendue de notre ignorance. Mais c'est preÌciseÌment ce qui la rend si belle. Elle est une queÌte infinie, un territoire d'aventures toujours renouveleÌ. Quand les continents ont tous eÌteÌ deÌcouverts sur notre Terre, elle offre encore et toujours de nouvelles contreÌes aÌ deÌcouvrir puis explorer. Combien de malheurs seraient eÌviteÌs, j'ose le croire, si les hommes au lieu de se soucier de pouvoir et de proprieÌteÌ s'inteÌressaient plus nombreux aÌ la bien plus fascinante entreprise de la connaissance. Alors oui, Il faut relancer des programmes de recherche ambitieux, en physique, en biologie, dans la conquĂȘte spatiale car le destin de l'homme est de lâaurez compris, je crois plus aux arts et Ă la connaissance quâau divertissement et Ă la consommation comme horizon Ă proposer Ă notre jeunesse et Ă la sociĂ©tĂ© toute ne suis pas de ceux qui croient que recherche scientifique rime neÌcessairement avec recherche militaire mais je suis de ceux qui croient que la politique si elle a un sens, câest celui de faire des choix justes pour la sociĂ©tĂ© y compris dans lâorientation des grands programmes scientifiques. Mettons le savoir aÌ l'honneur plutoÌt que cette mateÌrialiteÌ beÌte et steÌrile, querelleuse et mortifeÌre qui s'est empareÌ de notre planeÌte. InteÌressons nos futures geÌneÌrations aÌ la culture, aux connaissances et aux arts et sauvons les ainsi du neÌant consumeÌriste qui ne leur offre que pour seule perspective de tromper leur vide avec un geste compulsif d'achat. Le savoir est un outil puissant capable dâĂ©manciper lâhomme, mais aussi porteur de possibles destructions, il nâest ni bon, ni mauvais en soi, mais il est le destin de lâhomme et celui-ci doit sâen saisir pour les bonnes raisons. Les hommes ont aÌ toutes les eÌpoques trouveÌ des moyens de sâentre-tuer en masse sans l'aide d'aucune technologie sophistiquĂ©e mais pour la premieÌre fois, une ideÌologie â le consumeÌrisme â pousseÌ aÌ fond par un complexe techno-commercial, peut rendre inhabitable la totaliteÌ de notre espace vital, le seul que nous posseÌdions pour l'instant. Il y a donc urgence pour les hommes aÌ redessiner une valeur alternative au consumeÌrisme qui du reste n'est pas choisi mais imposeÌ et il me semble que la connaissance, dans toutes ses facettes, soit un but salvateur en ces temps de beÌtise effreÌneÌe. Je suis un optimisme forceneÌ et je vois les hommes capables des plus grandes prouesses. Que des sieÌcles de penseÌe nous aient permis d'aller marcher laÌ-haut est bien la preuve que notre intelligence ne connaiÌt pas de limites, notre imagination est sans bornes. Trouver des alternatives au capitalisme mateÌrialiste n'est rien en comparaison des prouesses intellectuelles qu'il nous a fallu accomplir pour arriver sur notre satellite. Nous le pouvons, il nous suffit de croire aÌ nouveau en notre capaciteÌ si reÌelle de maiÌtriser notre destin faut deÌtruire ce dogme mensonger de la main invisible du marcheÌ qui n'est qu'une pieÌtre transposition du non moins meÌdiocre adage selon lequel l'homme serait un loup pour l'homme. Les hommes sont une espĂšce sociale. Les hommes sont collectivement capables de grands accomplissements. Il faut juste qu'ils daignent se reÌveiller, se redonner un destin et qu'ils chassent de leur gouvernement des dirigeants qui ont abandonnĂ© la politique en eÌlisant ceux qui porteront des projets veÌritablement alternatifs. Saisissez-vous de cette chance historique pour la France, pour nous tous français, pour le 12 juin prochain, votez pour la sixiĂšme RĂ©publique et lâindispensable rĂ©volution sociale et Ă©cologique dont a besoin la planĂšte !
Pourla petite histoire, il faut savoir que dans lâunivers de la maison connectĂ©e, le fil pilote pour radiateur est un dispositif aussi frenchy que lâest une bonne baguette de pain dans le monde culinaire. En effet, il est devenu un produit spĂ©cifique Ă lâhexagone pour les grandes enseignes françaises de chauffage dĂšs 1995, et donc par effet boule de
ï»żForum Bricolage ElectricitĂ© kkoe Messages 99EnregistrĂ© le 27 FĂ©v 2007 1738 bonjour les zamis zĂ©lectriciens je refais actuellement la terre de mon tableau. celle actuelle n'est pas bonne, elle ne me plait pas, et je n'ai que 110V entre terre et phase. bref, j'ai plantĂ© un piquĂ© de terre de 2m dans ma cave, tresse, barrette de coupure. maintenant je me pose une question est-ce que je monte mon fil vert/jaune 10mm2 comme ça jusqu'Ă mon tableau tenu aux murs par des vavaliers, ce sont des piĂšces techniques ou bien dois-je le mettre sous gaine ICT 20mm je dis 20mm parce que j'en ai encore tout un rouleau de 100m. merci nicolas sibex Messages 283EnregistrĂ© le 27 DĂ©c 2006 1431 par sibex » 02 Mar 2007 1408 juste une rĂ©flexion ce n'est pas parce que ton piquet est dans ta cave que la terre est bonne et pour ma part je mets toujours sous gaine ou tube iro mes fils m^me de terre c'est une question avant tout d'esthetisme Fench Messages 165EnregistrĂ© le 28 FĂ©v 2007 1122 par Fench » 02 Mar 2007 1414 Bonjour, En plus il me semble avoir vu que tous les fils conducteurs doivent ĂȘtre protĂ©gĂ©s soit par une gaine, soit par une moulure ou autres caches. par contre une terre dans la cave alors lĂ ... j'ai tjs vu cela dehors ou alors faite avec le soubassement du logement. slymule Messages 558EnregistrĂ© le 31 Jan 2007 2150 par slymule » 02 Mar 2007 1634 Salut,Le cable terre qui va de la barrette au tableau est gĂ©nĂ©ralement en 16 tube IRO semble le plus adaptĂ© pour une cave...Mais l'ICT de 20 fait f'affaire au niveau des normes.+ Plus tu pĂ©dales moins fort, moins tu avances plus vite!... ; kkoe Messages 99EnregistrĂ© le 27 FĂ©v 2007 1738 par kkoe » 02 Mar 2007 1704 re bonjour deux observations 1 j'ai fait le test entre la phase et cette terre de ma cave, et j'ai bien du 220V. 2 le fil de terre ne doit-il pas ĂȘtre de la mĂȘme section que les fils du tableau au compteur? c'est pour ça que j'ai pris du 10mm2, puisque c'est ce qui va au tableau. Ă bientĂŽt nicolas fabio 47 Messages 383EnregistrĂ© le 29 DĂ©c 2006 2227 salut kkoe ,oui tu as raison ton fil de terre doit ĂȘtre au moins de la mĂȘme section que tes fils d'alim du disj au tableau .de plus rien ne t'empĂȘche de fixĂ© ton fil avec des pontĂ©s ,par exemple,si ce n'est l'esthĂ©tisme ,par contre si ton fil n'est pas protĂ©gĂ© il ne peut pas ĂȘtre infĂ©rieur a 6mmÂČavant c'Ă©tait 4mmÂČ mais il n'existe plus,en dessous il doit l" puis le fait de plantĂ© un piquet dans la terre dans une cave ne pose aucun souci .par contre une petite chose a laquelle on ne pense pas ,n'oublie pas de couper le courant quand tu raccorde ton fil de terre car si par hasard tu aurais une fuite quelque part tu peut prendre une bonne castagne c'est bien sur pas courant mais on sait il n'y a que ceux qui ne font rien qui ne font jamais de bĂȘtises sibex Messages 283EnregistrĂ© le 27 DĂ©c 2006 1431 par sibex » 02 Mar 2007 2153 fabio je n'ai pas dit que cela pose un souci de mettre une terre dans la cave je veux dire que ce n'est pas parce que le piquet est dans la cave qu'il y a une bonne terre le plus simple et de vĂ©rifier la rĂ©ssistance de terre fabio 47 Messages 383EnregistrĂ© le 29 DĂ©c 2006 2227 salut sibex, oui la je suis tout a fait d'accord avec toi ,je rajouterais mĂȘme que ce n'est pas parce que il y a 220v entre la terre et la phase que la terre est suffisamment bonne mais c'est mieux que pas de terre du tout et elle est peut ĂȘtre bonne en clair a testĂ©e .bye ,bonne nuit il n'y a que ceux qui ne font rien qui ne font jamais de bĂȘtises popeye33140 Messages 17EnregistrĂ© le 17 FĂ©v 2007 1749 bonjour kkoe et bonjour Ă tous, en effet, le fil de terre principal, de la barrette de coupure au tableau gĂ©nĂ©ral, doit ĂȘtre de mĂȘme section que les fils d'alimentation allant du disjoncteur gĂ©nĂ©ral EDF aprĂšs compteur au tableau gĂ©nĂ©ral. Il peut ĂȘtre en 10 mm2 et dans ce cas doit ĂȘtre protĂ©gĂ© par une gaine. Ă partir de 16 mm2, il n'y a pas obligation de protection mĂ©canique par gaine ou tube IRO. Ă + et bon travail...popeye... l'optimisme fait avancer Fench Messages 165EnregistrĂ© le 28 FĂ©v 2007 1122 par Fench » 04 Mar 2007 1631 Salut popeye Tu est vraiment sĂ»r de toi pour le coup du 16mm2 sans gaine ou tube ??? Parceque j'ai du consuel bientĂŽt sur le dos et je voudrais faire une manip avec mes 2 16mm2 A+ popeye33140 Messages 17EnregistrĂ© le 17 FĂ©v 2007 1749 bonsoir fench, quand je parle du 16 mm2 sans protection mĂ©canique soit sans gaine ou tube, je parle du conducteur de protection vert jaune qui relie la barrette de coupure au tableau gĂ©nĂ©ral et qui est normalement Ă un potentiel de 0 volt, donc Ă partir de 16 mm2 c'est considĂ©rĂ© comme Ă©tant mĂ©caniquement solide et pas d'obligation de protection supplĂ©mentaire...Ă +...popeye... l'optimisme fait avancer kkoe Messages 99EnregistrĂ© le 27 FĂ©v 2007 1738 par kkoe » 05 Mar 2007 1725 bonjour et merci pour vos rĂ©actions donc je vais bien mettre du vert/jaune en 10 mm2 sous gaine souple puisque j'en ai, et ce sera nickel. par contre, pour ce qui est de la qualitĂ© de ma terre, comment la vĂ©rifier? j'ai un testeur, avec certes un ohm mĂštre. est-ce suffisant? je mesure entre quoi et quoi, et quel doit ĂȘtre le rĂ©sultat? ou bien faut-il un dynamomĂštre? je pensais qu'un piquĂ© de 2 mĂštres plantĂ© dans le sol de ma cave, sous mon pavillon, sachant que c'est super humide ce qui n'est pas sans problĂšmes pour ma cave, bref, cela serait bon. avec torsadĂ©, barrette de coupure de terre, 10mm2, etc. bien Ă vous nicolas cliclac Messages 2450EnregistrĂ© le 26 AoĂ» 2006 2331 par cliclac » 05 Mar 2007 1738 Salut Kkoe, Il faut un mesureur de terre c'est assez cher donc plutĂŽt rĂ©servĂ© aux pros. Attention, doucement le matin et pas trop vite l'aprĂ©s-midi. ©Jmb. Utilisateurs parcourant ce forum Aucun utilisateur enregistrĂ© et 1 invitĂ©
Plusla rĂ©sistance de la terre est Ă©levĂ©e, plus le diffĂ©rentiel devra avoir une sensibilitĂ© Ă©levĂ©e. La mesure de la rĂ©sistance de terre de votre logement ne peut ĂȘtre calculĂ©e que par un professionnel, lui seul sera en mesure de vous conseiller un dispositif adaptĂ© Ă votre situation. Norme Ă©lectrique NF C 15-100 : le tableau Ă©lectrique. La norme
Si on vous parle de phase, de neutre ou de terre, sauriez-vous de quoi il sâagit ? Nous ne parlons pas ici de couleur Ă la mode mais de cĂąble Ă©lectrique. Chacun de ces cĂąbles parfaitement identifiables, a un objectif bien prĂ©cis. Nous allons dans cet article, revenir prĂ©cisĂ©ment sur chacun dâentre eux La phase gĂ©nĂ©ralement sombre noir, marron, rouge⊠La terre de couleurs striĂ©es vert et jaune Le neutre de couleur bleu Chacun de ces conducteurs Ă un rĂŽle diffĂ©rent, et tout appareil doit ĂȘtre reliĂ© Ă au moins deux dâentre eux pour pouvoir fonctionner correctement et Ă©viter une panne dâĂ©lectricitĂ©. Le conducteur de phase Pour une habitation, et sauf en cas de besoins trĂšs spĂ©cifiques, le courant fonctionne en ce quâon appelle le monophasĂ© câest Ă dire quâil nây a quâun seul conducteur de phase, contrairement au triphasĂ© oĂč il y en a trois. Câest le conducteurs qui va alimenter en Ă©nergie un appareil. Le courant fourni par EDF est alternatif, car il est ainsi plus simple et moins cher Ă transporter sur des longues distances. Cela signifie que la phase varie progressivement mais trĂšs rapidement entre une tension positive 230v et une tension nĂ©gative -230v, et ce de maniĂšre rĂ©guliĂšre toutes les 20ms. Ces alternances Ă©tant trĂšs rapides, elles ne gĂȘnent pas le fonctionnement des appareils Ă©lectriques courants. Le conducteur de protection Le conducteur de protection la terre est un cĂąble Ă©lectrique qui est reliĂ© au sol par un piquet mĂ©tallique par exemple, et qui a une tension qui est thĂ©oriquement nulle. Son rĂŽle est de vous protĂ©ger des Ă©lectrocutions en cas de dysfonctionnement dâun appareil. La surcharge est alors Ă©vacuĂ©e par le fil de terre si lâappareil est bien branchĂ© Ă la terre, et lâalimentation est automatiquement coupĂ©e. Il est donc important de relier les appareils Ă©lectriques pouvant ĂȘtre dangereux Ă la terre indiquĂ©s par la classe 1. Les appareils de classe 2 ne prĂ©sentent quant Ă eux pas de dangers. Il est Ă©galement nĂ©cessaire de relier les grandes surfaces mĂ©talliques au sol pour Ă©viter tout risque. Une fois que lâappareil est alimentĂ© Ă©lectriquement, il faut permettre au courant de retourner vers le circuit dâEDF on utilise le neutre. Il est lui aussi thĂ©oriquement nul, sauf en cas de dysfonctionnement Ă©lectrique, puisque la moyenne des tensions positives et des tensions nĂ©gatives de la phase doit ĂȘtre de zĂ©ro. Si il nâest pas nul, câest quâil y a un problĂšme et le systĂšme de protection doit alors sâenclencher disjoncteurs / fusibles, afin de protĂ©ger lâinstallation et les utilisateurs. Il est donc vital dâutiliser le neutre pour le branchement de tous vos appareils, afin de garantir votre sĂ©curitĂ©. Vous ĂȘtes maintenant capable de diffĂ©rencier les 3 principaux conducteurs et savez maintenant Ă quoi ils servent. NĂ©anmoins, nous tenons Ă vous rappeler quâil est essentiel que tous raccordements Ă©lectriques soient effectuĂ©s hors tension lorsque vous effectuez vous travaux de remise aux normes Ă©lectriques.
gainede fil de "fer Ă repasser". la gaine en tissu est usĂ©e. A un endroit il y a un fil qui rebique, mais. l'ensemble est en trĂšs bon Ă©tat. On dit Ă certains endroit qu'il faut changer tout le fil. Je suis. Ă©lectrique est en bon Ă©tat). Je doit faire une nouvelle installation de piquet de terre, j'utilise du fil de terre de 16 carrĂ©, il passe a l'extĂ©rieur sur plus de 30 mĂštres pour arriver au piquet de terre dans le jardin, dois - je gainĂ© ce fil de terre pour que mon installation soit bien rĂ©ceptionnĂ©e par un organisme agréé style aib vincotte ? bZone Equipe BricoZone 47 ans, LiĂšge La question est piĂšge. En thĂ©orie vous ne devez pas gainer le fil de terre MAIS si vous parlez d'enterrer un conducteur electrique, c'est tout different. Donc prĂ©cisez comment ce fil parcours ces 30 mĂštres dehors ? Le long d'une facade ? un tube de 16 ou 20 me parait la moindre des choses Sous terre annelĂ© de 80mm Autre ? Bonjour jymary, Ce n'est pas qu'il doit ĂȘtre gainĂ© ou non, mais vous n'y gagneriez quasiment rien. De plus un fil gainĂ© VOB vert/jaune indique directement, sans doute possible, son utilitĂ© et dans sa partie apparente il doit l'ĂȘtre. Donc placez un VOB vert/jaune 16ÂČ jusqu'Ă votre barrette de coupure, et si possible d'une piĂšce. Cory Merci pour vos rĂ©ponse rapides, le problĂšme, c'est que j'ai dĂ©jĂ placĂ© le fil sur mon pignon sans placer de gaine, et il se trouve entre 3 et 5 m de hauteur, alors recommencer le tout en plaçant des gaines, ca me fait enrager pour ne pas dire autre chose, mais je crois bien que je vais resortir mon Ă©chelle et me faire peur Ă nouveau, encore merci Ă tous. Bonjour jymary, Si vous entendez par "gaine" un tube ou autre ce n'est pas nĂ©cessaire pour les fils d'une section supĂ©rieure Ă 4ÂČ. Par contre si vous nommez "gaine" l'isolant vert/jaune alors oui il le faut. Cory le27/06/2012 Ă 22h10 Bonjour, j'ai du passer un cĂąble Ethernet dans mon jardin, le problĂšme c'est qu'il n'y a pas de gaine donc le cĂąble est passĂ© sur la terre